Un soir, à la maison, tu as convaincu ma moitié de faire un truc différent d’un jeu de société pour changer. Quand je reviens après une courte absence, tu m’annonces que ma moitié veut devenir caudaliste. Sans savoir ce que c’est.
Tu me connais bien, alors tu me demandes d’aller chercher ce qu’il te faut. Je t’aide, me demandant quand ma moitié va râler, mais elle se laisse faire. Je ne sais pas si elle a trop bu ou si tu as été convaincante, mais elle se laisse docilement attacher sur une chaise.
Ensuite, tu me fais à mon tour m’asseoir sur une chaise, face à elle. Tu lances de la musique sur ton portable, et tu commences à danser entre nous, face à moi. Au début, je la regarde elle, mais elle semble subjuguée, alors je profites et je regarde tes courbes. Tu ondules ton bassin telle une danseuse du ventre, puis tu enlèves le haut, dévoilant un soutif en dentelle noire. Tu me tournes le dos, le temps de remuer tes fesses sous mon nez. Les mains posées sur les genoux de ma moitié, tes mouvements de cul font tout pour m’exciter.
Et ça marche. Tu continues ton strip-tease, lentement, m’offrant à chaque fois une vue magnifique. Quand tu dévoiles ta culotte noire, ma moitié réagit, mais tu la fais taire d’un doigt posé sur ses lèvres. Tu viens t’asseoir sur moi, ta main entre nous pour vérifier mon état. Satisfaite, tu me déshabilles, et tu t’agenouilles devant moi.
Ta bouche se pose sur moi, et ma moitié rougit. Elle qui n’ose pas me faire cette caresse orale si délicate a l’air d’avoir envie de prendre ta place. Tu ne la vois pas derrière toi, mais elle te regarde attentivement. Toi, à genoux entre mes cuisses, en train de me faire une fellation : j’espère qu’elle apprécie le spectacle et que ça la décoincera un peu. Tu jettes ta culotte sur elle sans même te retourner.
Tu sors une capote de je ne sais où, tu m’équipes, et l’instant suivant, tu viens t’empaler sur moi, en gémissant doucement. Tu te colles à moi, tes seins écrasés contre mon torse, tu remues ton bassin, cherchant le bon angle. Puis tu commences à monter et descendre le long de mon sexe. Le bruit ne fait aucun doute: tu étais trempée avant mème de commencer. Ma moitié se mord les lèvres, gémit, frotte ses cuisses l’une contre l’autre. Tu ne la vois pas, mais tu sens sa tension sexuelle dans la pièce.
Je suis à deux doigts de jouir quand tu te relèves, tourne, et revient t’asseoir dos à moi. Je comprends et j’avance mon bassin au bord de la chaise. Tu me remets en toi en regardant droit devant, et en commentant crument comment tu aimes ça. Elle te fusille du regard. Je souris, et j’attrape tes seins à pleines mains : autant que le spectacle soit total.
Tu ondules en allant et venant, et je pousse des râles à chaque fois que ta peau claque contre la mienne. Je n’en peux plus, et je t’attrape les hanches pour te plaquer contre mon ventre, jouissant en grognant. Nous restons ainsi un petit moment, puis tu te relèves. J’admire ton corps, ruisselant de transpiration, les courbes parfaites.
Je retire la capote usagée, la pose dans un coin, et je souris en imaginant la suite.
Tu frissonnes, mais tu es encore chaude, ça se voit dans ton regard. Tu la détaches de la chaise, et tu lui ordonnes de se mettre nue. Elle te regarde, hésite une seconde, puis ses habits volent et elle se retrouve nue devant nous. Tu me fais asseoir sur la chaise, et c’est mon tour d’être attaché, les mains derrière le dossier.
Tu la pousses sur la table, à plat ventre, et tu lui dis qu’elle n’assure pas au lit avec moi. Qu’elle mérite une punition. Et tu commences à lui mettre une fessée. Elle adore ça d’habitude, mais semble prendre encore plus de plaisir avec ta main qu’avec les miennes. Je suis jaloux de toi. Ses fesses rougissent rapidement, mais tu ne t’arrêtes pas, même quand elle commence à se tortiller.
Tu te retournes soudain vers moi, les yeux sur mon bas ventre. Tu te lèches les lèvres, et je réalise que je bande à nouveau. Tu l’allonges dos sur la table, et les cordes reviennent pour l’attacher elle, le bassin au bord de la table. Puis tu lui ouvres les jambes en grand et tu les attaches aux pieds opposés. Tu lui annonces que tu vas lui bouffer sa chatte qui est trempée. J’enrage. Je bous. Tu sais parfaitement qu’elle me refuse aussi ce plaisir. Elle dit « non », mais ta tête se plaque sur son sexe, et tu la lèches. Elle se cambre, mais les cordes la maintiennent bien.
De ma place, je ne sais pas ce que tu lui fais, mais son non s’est transformé en gémissement. Elle a l’air de prendre son pied. Tu ne t’arrêtes pas, je vois ta tête bouger et j’imagine ta langue tourner sur son clito et lécher ses lèvres. Tu glisses une de tes mains entre ses cuisses, et le « oui » de ma moitié remplit l’air. Je bande de plus en plus, mais attaché, impossible de faire quoi que ce soit. Enfin, tu t’arrêtes, et tu vas lui rouler une pelle, lui faisant gouter son propre jus, tout en défaisant les nœuds qui la retienne.
Tu la laisses souffler. Tu viens me voir, et tu me caresses le sexe, ta main couverte de tes longs cheveux. C’est excitant, mais pas assez. Ma moitié se relève, et vient à coté de toi. Toutes les deux à genoux, vos doigts se mêlent sur ma queue, je n’en peux plus. Alors tu me lâches, et tu attrapes sa tète à deux mains. Tu la guides vers mon sexe, et elle se laisse faire. Mon sexe qui était couvert de sperme quelques minutes plus tôt. Et elle le gobe, sans même le lécher. C’est divin. Encore meilleur qu’avec toi. Tu guides sa bouche pour qu’elle accélère, et tu la préviens qu’elle doit avaler. Cela déclenche mon orgasme, et je jouis en plusieurs jets.
Elle gémit, mais elle continue, je sens sa langue tourner pour tout avaler. Tu l’aides à me nettoyer. Puis fatigués, nous allons tous les trois nous allonger sur notre lit. Un queen size à deux, c’est bien, mais à trois, nous sommes serrés, un peu emmêlés. Les peaux se touchent. Progressivement, nos respirations accélèrent. Chacune votre tour, sans vous concerter, vous poser une main sur mon bas ventre pour savoir si je suis prêt pour un nouveau round. Alors je fais pareil, et je pose une main sur chacune de vous, caressant vos hanches, parcourant vos monts de vénus. Vous êtes si différentes, mais si pareilles. Toutes les deux vous gémissez quand mes doigts vous titillent. J’insère un doigt, et il se fait aspirer. Des deux cotés.
Je souris, ne sachant pas comment vous prendre toutes les deux en même temps. Je ne me sens pas à la hauteur pour le coup. Mais tu prends les choses en mains. Tu lui dis de se mettre à quatre pattes. Tu plaques d’une main ses épaules sur le matelas. Ton autre main m’attrape, et par signes, tu me montre les capotes. J’en enfile une. Je viens à genoux derrière elle, et je rentre doucement. Tu nous laisses profiter seuls de cette levrette un instant, le temps de prendre quelques accessoires.
Tu reviens, nous observes, et nous indiques qu’on est pas en rythme. A genoux à coté de nous, tu poses une main sur son dos pour l’empêcher de trop bouger. Et de l’autre, tu me cravaches pour me faire aller au rythme soutenu que tu veux. J’ai l’impression de la défoncer. Elle gémit, la tête dans l’oreiller. Et grogne même. Je ferme les yeux pour me caler sur le rythme et que la cravache morde moins ma peau.
Tout à coup, la cravache se pose sur mon bas ventre. J’arrête de respirer, attendant une douleur sur mes parties, et j’ouvre les yeux. Je te regarde, et je te vois en train de sucer un plug anal. Tu poses la cravache, le sors de ta bouche, et tu titilles son anus pendant qu’elle gémit. Il ne reste que mon gland en elle, mais je la sens se contracter quand tu le fais rentrer doucement. Tu le tournes et prend ton temps, et il rentre sans problème.
Tu reprends la cravache, et la pose sur ma fesse. J’avance doucement, découvrant la sensation de la double pénétration. Ma moitié gémit sans interruption, et elle est plus trempée que je ne l’ai jamais vu. Je glisse tellement dans sa chatte qu’à plusieurs reprises, ma verge sort et je dois me replacer pour la reprendre. A chaque fois, elle pousse un cri de déception, puis un soupir de soulagement. Ta main se pose sur ses fesses, un doigt sur le plug, tu le fais bouger doucement. Il remue en elle pendant que mon sexe entre et sort. Puis tu l’attrapes, et tu le fais sortir, lui arrachant un gémissement encore plus fort. Tu me fais arrêter à mi course.
Tu le remets en elle, doucement. Et tu recommences, plusieurs fois, de moins en moins douce. Tu l’enlèves, le pose sur le lit, attrape ma queue, et lui demande si elle en veut encore dans son cul. Elle dit oui, qu’elle veut tout pour jouir. Alors tu sors ma queue de sa chatte, tellement trempée qu’il n’est pas utile de rajouter du lubrifiant, et tu poses mon gland sur son anus. Je pousse doucement, j’entre, mais elle est tellement serrée que j’ai peur de lui faire mal. J’ose à peine bouger, mais tu prends les choses en main. Tu viens te mettre à genoux derrière moi. Ta peau contre la mienne m’excite encore plus. Tes seins écrasés dans mon dos, tu me donnes un coup de bassin doucement, en attrapant ses hanches devant moi.
Pour la première fois de ma vie, je sodomises une femme. La mienne. Pendant que ma meilleure amie me guide. Mes gémissements s’ajoutent aux siens, et il ne faut plus trop longtemps avant que je viennes en poussant un râle, avant de m’effondrer sur ma moitié. Qui crie de plaisir elle aussi, ses jambes prises de spasmes.
Je jette un coup d’œil derrière nous et je te vois sourire. Tu te lèves, et tu vas ranger les affaires avant de prendre ta douche pendant que nous reprenons notre souffle. Ma moitié semble reprendre ses esprits bien après moi. Quand tu reviens de la salle de bains, fraiche comme une rose, enroulée dans une serviette. Elle te regarde, puis me regarde, et annonce que la prochaine fois, ça sera ton cul qui aura l’honneur de se faire défoncer.
Puis je me réveille, en sueur, le sexe dur. Et je soupire en repensant à mon rêve. Ma moitié dort à coté de moi, et il me faut longtemps pour trouver le sommeil.
J’avais discuté cul avec ma meilleure amie ce soir là, qui en rigolant, me proposait une partie à trois avec une rousse. Avant de préciser qu’elle rigolait, qu’elle oserait pas avec moi. Avant d’aller dormir, j’ai regardé un film porno pour me détendre. Mal m’en a pris. Mon esprit a mélangé des fantasmes, la vidéo, la discussion, et a créer un rêve qui m’a réveillé et empêché de dormir.
J’en veux bien des rêves comme ça…
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Fantastique, je savoure chaque articles de ce blog !
Bon boulot.
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