Sex-friend, et plus si affinités – 28 – Début de soirée

Le lendemain soir, jour de la fête post exam, j’arrive chez Sophie avec les filles. On entend des voix, elle n’est pas seule dans l’appartement. Sophie vient nous voir, et nous dit qu’il y a des règles vestimentaires, et nous envoies nous changer. Une chambre pour les hommes, une pour les femmes.

Dans celle des hommes, je découvre Cyril. On se présente rapidement.

– “Tu connais Sophie comment ?”
– “Copine de promo, et toi ?”
– “On se connaissait un peu au lycée, et là elle cherchait un mec pour un truc spécial ce soir”
– “Comment ça”
– “Écoutes, t’es un mec ? tu te branles sur du porno ? Moi j’en tourne, et ma spécialité, c’est la sodomie en caméra cachée. Après je diffuse en ligne. J’adore enculer une fille sans lui dire, sans lubrifiant, et lui faire mal jusqu’à ce qu’elle supplie. Elle m’a promis que j’aurais une sodomie dont je me souviendrai toute ma vie. Et on a même signé un papier pour ça, j’en reviens pas”

Sex-friend, et plus si affinités – 27 : Partiels

Je ne tarde pas à être totalement rétabli, ce qui lui permet de se passer de ses infirmières privées. Les examens approchent, je peux donc se concentrer sur ses révisions. Le bachotage à la bibliothèque de l’université se déroule dans un calme total. Les soirées révisions se déroulent dans la bonne humeur.

Parfois, je perds ma concentration. Je laisse alors dériver son regard dans le vide, ou regarde autour de moi pour me changer les idées. Un jeudi après-midi, je rêvasse en regardant les tables à côté de moi. Des étudiantes chuchotent tranquillement. Il me faut plusieurs minutes pour réaliser qu’elles sont toutes en jupe ou en robe, dévoilant leurs jambes.

Sex-friend, et plus si affinités – 25 : Nuit entre amis

Liste des chapitres disponibles

Sophie me tourne le dos, et continue :

– “Déboutonne ma robe dans le dos, s’il te plait”

Je m’exécute, les mains tremblants en enlevant les boutons les uns après les autres. Quand j’enlève le dernier, elle remue ses hanches, et le tissu glisse directement au sol, dévoilant une guêpière affriolante, avec des portes-jarretelles, bas assorti. Elle a attaché celles de la jambe cassée sur son plâtre. Je reste bouche bée sur sa tenue. Je ne remarque même pas le shorty en dentelle qui moule ses fesses.

– “J’espère que ça te plait.”