Plaisirs interdits

La position de la levretteIl y a un an environ, lors de préliminaires, ma main n’était pas placée comme d’habitude, et je me suis retrouvé avec un doigt posé à l’entrée de l’anus de ma moitié. Nous en avions parlé, et elle refusait clairement ce genre de pratique : pas question de sodomie. De mon côté, je ne lui avais pas dit, mais j’aurai bien voulu essayer quand même, mais seulement avec son accord.

Ce jour là, j’ai donc tenté le diable, et j’ai laissé mon doigt. Pendant que je m’occupais de son clitoris et de son vagin, mon doigt jouait à la porte, détendant son muscle anal, puis s’insérant doucement, aspiré par son si joli cul. Lire la suite

Moment de détente

Faire l'amour sous la couetteDans la journée de mardi, j’avais plusieurs rendez-vous importants, et j’étais donc stressé dès lundi. J’ai rêvé une partie de la journée à faire l’amour à ma moitié pour me déstresser, soit lundi soir avant mes rendez-vous, soit mardi soir après mes rendez-vous.

En me couchant tard lundi, je savais que je dormirais mal, et je m’étais fait à l’idée. J’ai été étonné en voyant que ma moitié ne dormait pas encore. Quelques instants plus tard, sa main se posait sur mon dos pour me gratter doucement. Lire la suite

L’art de la fessée

Deux femmes en tenue bavaroise se mettent une fessée La fessée, c’est tout un art. Je suis adepte depuis des années. J’ai toujours aimé sentir ma main frapper la peau de ma campagne, sur ses fesses ou le haut de ses cuisses rebondies.

Voir la chair se déplacer en une seule onde, la sentir vibrer.

Entendre la claquement de ma paume sur ses fesses, et son gémissement de douleur, mais surtout de plaisir.

Elle me raconte souvent que quand je trouve le bon endroit, la bonne façon, elle sent la secousse jusque dans ses parties intimes. Et elle adore ça, donc je ne me prive pas de lui faire goûter à une bonne fessée, à mains nues, et parfois même avec une cravache.

La fesser devient alors un art, mais surtout un plaisir partagé, prémices d’encore plus de plaisirs. Rien que d’en parler, j’ai très envie de lui faire subir ça bientôt.