Sex-friend, et plus si affinités – 20 : Jeux de mains

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Femme tapant un sextoLes jours suivants, j’ai du mal à redescendre sur terre. Tous les soirs, dans ma chambre, j’échange des textos avec Sophie. Rapidement, ce sont des sextos qui m’excitent au plus haut point. Encore timide, je n’ose pas demander de photos, et elle ne prends pas les devants. Je me contente donc de ses textes très appétissants, des descriptions de ses tenues, de ses phrases qui marquent mon esprit, alimentent mes fantasmes et m’empêche de dormir.

Certains soirs, Alexandra et Céline viennent papoter dans ma chambre, et tentent de voir mon téléphone pendant que je réponds à Sophie. Je prends alors bien soin de tourner l’écran pour que personne ne puisse lire nos échanges. Une soir où Chloé est là, elles papotent entre elles pendant que je suis occupé : Sophie me demande de lui décrire les sensations de chaleur sur mon sexe pendant la fellation. Les souvenirs me prennent aux tripes, et je mets un bon moment à lui répondre. Je me rends compte que les filles me regardent en silence au bout d’un long moment.

– “Désolé les filles, j’étais concentré sur autre chose. On parlait de quoi ?”
– “On racontait à Chloé les détails de ton dépucelage.”
– “Je croyais qu’on avait dit qu’on raconterait ça à personne.”
– “C’est d’intérêt public de savoir que des mecs puceaux peuvent ne pas être des grands bourrins. C’est pas fréquent un mec qui peut faire jouir une fille juste avec sa langue.”
– “Arrête, tu vas me faire rougir.”
– “Tu m’as bien fait jouir toi”

La discussion dérape en bataille de chatouilles, et je perds rapidement avec trois paires de mains qui se glissent sur moi pour chercher mes zones sensibles. Dans la cohue, je sens la peau de Chloé sous mes mains quand je riposte. Par réflexe, je me recule. Sans avoir le temps de réaliser, je me fais complètement immobilisé : elles se sont juste mises à genoux sur moi, me chevauchant toutes les trois en tenant chacune un bras. Je peux juste bouger mes jambes. Chloé commence à râler :

– “Me poussez pas, je vais lui écraser la tête avec mes fesses.”
– “Han, la chance. Oublie pas de virer ta culotte, il s’occupera de toi.”
– “Non, mais stop les filles, je sors avec Sophie, c’est tout.”
– “J’ai une idée. Je sens que ça va lui plaire.”

Je sens des mains agripper ma ceinture, et ouvrir mon pantalon. Je remue le bassin pour l’empêcher, mais c’est peine perdue. Avec l’aide d’Alexandra, elle baisse mon pantalon jusqu’à mi cuisses. Puis plus rien. Ca m’inquiète d’autant plus. Elles chuchotent entre elles.

– “Mais qu’est-ce que vous faites ?”
– “Tais toi Patrice. Allez Chloé, nous on est prêtes.”
– “D’accord, mais je garde mon soutif.”
– “Go. Je m’occupe de lui en attendant.”

Je me tords le cou, et je réalise qu’Alexandra et Céline ont enlevé le haut, et sont torses nues. Chloé se tortille pour virer son pull, ses fesses se collent sur mon menton, emplissent mon champ de vision. Céline pose une main sur mon boxer, et je sens mon sexe réagir immédiatement. Les filles bougent, se penchent, et je comprends enfin ce qu’elles font : une selfie d’elles trois à moitié nues sur moi. J’essaie de remuer pour sortir de ce piège, mais mon téléphone sonne déjà. Alexandra attrape mon téléphone, et le met dans ma main :

– “C’est ta chérie, elle a reçu la photo je crois.”
– “Non, mais attend, décroche pas, je peux pas parler avec vous sur moi.”
– “Patrice, comment tu oses faire ça ?”
– “Sophie, écoute, c’est elles : elles m’ont attaqué et jeté par terre, j’ai rien pu faire”
– “Tu as pas de mains ?”
– “Si, mais elles les tenaient pendant qu’on se chatouillait”
– “Et là, tu tiens le téléphone ?”
– “Oui, mais c’est pas la question.”
– “Alors lâche le sans raccrocher, fourre la dans la culotte la plus proche, et n’hésite pas à me raconter à voix haute leur état.”
– “Mais, je peux pas.”
– “Pourquoi ? C’est moi qui te demande….”
– “Je….”
– “Tes sextos m’ont excitée. La photo encore plus. Surtout le gros plan sur la main sur ton boxer. Alors si tu ne fais rien, je raccroche, et je les appelle. Elles auront ma bénédiction pour se servir de ton corps. Ou sinon, tu obéis, et tu leur mets un doigt pour savoir laquelle est la plus excitée.”

Je n’en reviens pas. Ma petite-amie me demande de faire ça, et ne m’en veut pas. Perdu pour perdu, je pose le téléphone, et je plaque ma main sur le ventre de Chloé, la plus proche, et je descend. Elle sursaute, se redresse, et lâche mon autre main. J’en profite, et d’une main je la tiens pendant que l’autre ouvre le bouton du pantalon et se faufile à l’intérieur.  Par manque d’habitude, je rate la culotte, et ma main se retrouve posée sur son pubis, un peu bloqué par le pantalon, et je sens sa chaleur à travers le tissu.

– “Han. Mais arrête Patrice, y’a ta copine au bout du fil.”
– “Qu’est ce qu’il fait encore celui là.”
– “Rien, je visite sa culotte. Elle est douce et chaude.”

J’ai tourné ma tête pour le dire au téléphone, et j’entends Sophie soupirer doucement. Chloé se dégage, et se jette sur le lit pour se rhabiller. Je gigote un peu et j’arrive à passer mon bras autour de la taille d’Alexandra, qui frissonne, mais se laisse faire. L’avantage de son pantalon moulant, c’est que je n’ai pas besoin d’ouvrir : ma main passe sous l’élastique et descend droit sur la cible, la paume sur le ventre, les doigts caressant son mont de Vénus, plaqué contre ses lèvres, lui tirant un gémissement qu’elle essaie de retenir sans succès. Je caresse doucement, la faisant gémir de plus belle.

– “Alexandra est bien mouillée par contre, sa culotte va pas résister longtemps.”
– “Patrice bande bien le cochon.”

Céline, la main posée sur moi, me titille doucement en commentant mon état.

– “Vas-y Patrice, occupe toi de toutes ces filles qui te chauffent.”

La voix de Sophie résonne dans ma chambre, elle a dû crier bien fort chez elle pour qu’on l’entende aussi nettement. J’obéis instinctivement, mon doigt glissant le long de ses lèvres trempées avant de glisser doucement en elle. Elle agrippe les épaules de Céline et se mord les lèvres pour ne pas crier de surprise. Elle soulève son bassin pour me laisser de la place, et libérer mes gestes. J’en profite pour commencer à aller et venir. Elle se cambre. Je ferme les yeux pour me concentrer sur les sensations. Une main rejoint la mienne dans la culotte, et vient caresser le clitoris que j’avais ignoré. J’ouvre les yeux, et je découvre Chloé qui me regarde, sa main caressant Alexandra qui halète de plus en plus.

Chloé rougit en me faisant des signes pour qu’on se coordonne. Quelques instants après, Alexandra explose, son sexe ruisselant sur ma main, une main sur sa bouche pour étouffer son cri. Chloé me regarde avec un sourire complice, puis l’embrasse tendrement comme si je n’étais pas là. Elle l’attire sur le lit avec elle, et Alexandra soupire en se lovant contre elle.

– “Une de faite, bien joué Patrice. Plus qu’une, et pas la plus facile.”
– “Je suis pas d’humeur à me faire doigter. Et je préviens, je mords.”

Je reprends mon souffle, pendant que la main de Céline appuie toujours sur mon boxer, tâtant la marchandise. Elle en profite, elle pivote, pour se retrouver face à moi, toujours à califourchon.

Je me redresse d’un seul geste, faisant tomber Céline sur le dos, la plaquant au sol, l’écrasant ensuite de tout mon poids. Elle résiste, mais je continue, mes jambes glissées entre les siennes pour les écarter. Je profite de mon avantage, plonge ma bouche à sa rencontre. Elle tourne la tête, surprise de ce geste. D’une main je lui tiens un bras. L’autre est coincé sous mon épaule. Ce qui me laisse une main de libre, que j’envoie sur le champ sous sa jupe. Je garde en tête un seul objectif : écarter sa culotte et voir si elle mouille.

– “Tu vas pas le croire Sophie, mais Céline n’a pas de culotte sous sa jupe.”

Céline gémit, frustrée d’être découverte. Mais mes doigts en profitent, caressant son sexe déjà ouvert et mouillé. Mon doigt s’attarde sur son clitoris, le caressant doucement. Elle se cabre, gémit, mais ne me résiste plus. Alors j’en profite, et mon majeur entre en elle. Elle est tellement mouillée que ça rentre tout seul. Je la branle rapidement, avec des simples va et vient, de plus en plus vite. Juste sous mes yeux, je vois ses tétons grossir à vue d’oeil. Je stoppe mon doigt pour en glisser un deuxième avant de reprendre mes mouvements.

Derrière moi, sur le lit, j’entends Alexandra commenter :

– “Han, elle a le droit à deux doigts elle.”
– “Toi, tu avais ma main en plus.”
– “Et c’était bon. Regarde comment elle se cambre.”

Leur papotage me déconcentre, ce qui permet à Céline de dégager une main, qu’elle vient poser sur son sexe. Je râle en pensant qu’elle va m’empêcher de continuer, mais au contraire. Elle passe ses doigts sur ses lèvres pour les mouiller, puis sur son clitoris qu’elle caresse sans retenue.

– “Putain Patrice, accélère, j’ai envie de jouir.”

J’accélère mes doigts en elle, elle gémit en se mordant les lèvres. La tension est à son comble, j’entends les souffles des filles derrière moi, je sens Céline sur le point de jouir. Je la sens sur le point de crier. Tout à coup, une sirène retentit dans le bâtiment. Céline se met à crier :

– “Oui…. Non”
– “Merde, alarme incendie, rhabillez vous, faut qu’on sorte”
– “Encore, je suis à deux doigts…”
– “On sait, on a vu.”

Sans terminer ce qu’on a commencé, on se rhabille en quelques secondes, puis on sort du bâtiment, suivant la file d’étudiants, en se demandant si c’est un exercice ou une vraie alarme incendie. J’ai encore chaud de nos exploits, et je me demande si mon érection se voit à travers mon pantalon. Heureusement, la fraîcheur du soir me fait revenir à un état normal. Céline se tortille un peu, frustrée d’avoir été interrompue si près du but.

Pendant qu’on attend que le gardien vérifie tous les couloirs, je reçoit un SMS de Sophie : “Tu es doué de tes doigts, et tu dois être super frustré. Dis moi quand tu seras dans ta chambre, j’ai une photo pour toi. Elle t’aidera à dormir. Et à faire de beaux rêves.”

Je souris bêtement en attendant la nuit avec impatience. Cette bataille de chatouilles improvisée a vraiment était une bonne chose finalement.

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