Sex-friend, et plus si affinités – 19 : On ne joue plus

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couple se tenant par la mainSophie me fait bouger, pour que je sois allongé sur le dos, nu entre elles trois, en plein milieu de lit. Elles commencent à papoter au dessus de moi comme si j’étais absent. Ou comme si j’étais un meuble sans intérêt. Elles choisissent toutes vérités, aucune ne prend action. Comme si elle attendait de savoir ce que Sophie avait derrière la tête.

Finalement, elle prend les choses en mains :

– “Céline, tu as un gage, tu tournes trop autour du pot.”
– “Hein ? Mais c’est pas juste.”
– “Alexandra, tu as un gage toi aussi, parce que j’ai envie que tu en aies un.”
– “Euh, c’est pas du jeu.”
– “On est chez moi, sur mon lit. Il y a un homme nu allongé, personne ne s’occupe de lui, au point qu’il ne bande même plus alors que trois jolies filles sont nues autour de lui.”

Je sens immédiatement les regards de Céline et Alex se poser sur moi, mais je ne quitte pas Sophie des yeux. J’attends les gages pour savoir ce que je vais devoir faire. J’adorerais qu’elle demande aux deux filles de me sucer ensemble en même temps et finir sur leurs seins.

Sophie me fait plier les jambes pour que mes pieds soit à plat sur le matelas. Elle me regarde, avec un air coquin dans le regard qui me surprend. Mon sexe réagit immédiatement et gonfle doucement.

– “Alexandra, assieds toi à califourchon sur son ventre. Montre lui tes fesses pour l’exciter. Tu peux te tenir à ses genoux, mais le griffe pas.”

Alex n’hésite pas, et sa jambe passe par dessus moi : on dirait une cavalière s’installant sur sa monture. L’espace d’un instant, j’ai une vue parfaite sur son sexe qui semble bien mouillé. Puis elle le pose sur mon ventre, et je sens la chaleur sur ma peau. Je souris en sentant que j’avais raison pour son humidité. Et je souris encore quand je sens mon sexe continuer à gonfler pour atteindre sa taille définitive en touchant le pubis de la belle assise sur moi.

– “Céline, premier tiroir de la table de nuit. Tu sais ce que j’attends de toi.”

Je tourne la tête vers Céline, mais elle semble perplexe. Elle ouvre un tiroir et sourit d’un air entendu. Je me tords le cou pour voir ce qu’elle prend sans succès. Elle contourne Alexandra et les filles sont donc toutes autour de mon sexe qui palpite d’envie.

Des mains douces l’attrapent doucement, le lèvent puis le caressent doucement. L’une des mains glissent sur mes bourses pour les caresser. Une autre paire de mains se pose, et je sens alors trois mains monter et descendre sur mon sexe. On pose quelque chose de froid sur mon gland. Je mets quelques instants à réaliser que Céline déroule une capote sur mon sexe. Alex le confirme :

– “Ça a l’air facile quand Céline le fait, mais j’aurai pas réussi du premier coup je pense. Faut être partout à la fois”
– “J’ai une amie qui le déroule avec la langue, sans les mains.”
– “C’est possible ça ?”
– “On pourra toujours essayer la prochaine fois.”

Sophie intervient et les coupe dans leur délire, avec une voix particulièrement rauque :

– “Alexandra, profites-en. Découvre son sexe avec tes mains.”

Elle fait une pause, laissant Alex obéir. Puis reprend :

– “Quand tu seras prête, tu pourras t’empaler sur lui. Vous êtes tous les deux puceaux, ça sera une première pour vous deux.”

Elle a dit cette dernière phrase en me regardant droit dans les yeux.

– “Je l’ai jamais fait avec un homme. Je sais pas si…”

Céline l’interrompt :

– “C’est comme un gode, mais c’est chaud, doux, vibrant, dur, et mou, tout ça à la fois.”
– “Céline, désolé, cette queue n’est pas pour toi, même si elle te fait envie.”
– “Sophie, je commence à être frustrée.”
– “Ne t’inquiète pas Céline. Ton tour viendra.”

Alex se dandine sur mon ventre, avance doucement, plaquant mon sexe contre son pubis, bien droit. Elle se penche en avant, je sens ses mains se poser sur mes genoux, puis ses seins effleurent mes cuisses. Elle frissonne. Pour l’encourager et l’aider à tenir bien stable, je pose mes mains sur ses hanches en admirant sa croupe. Surprise, elle sursaute légèrement.

Sophie intervient, et m’interdit de bouger. Elle poursuit :

– “Alexandra, détends toi. Il va plus recommencer. Prends ton temps, Céline et moi allons l’empêcher de te toucher.”

Je déglutis, me demandant comment elle va m’attacher.

– “Céline, vient ici. Mets toi à genoux, face à lui, assise sur ses pectoraux”

Je rigole devant la proposition absurde, mais Céline obéit sans hésiter, les pieds sous mes épaules, les cuisses de part et d’autres de ma tête, la chatte juste devant moi, à quelques centimètres de mon menton. Sophie bouge à nouveau, me laissant seul en tête à tête avec Céline. Enfin, seul, si on oublie les mains qui se posent sur mon sexe et le manipule doucement, le frottant contre le sexe d’Alex. Je ferme les yeux et je me mords les lèvres de désir.

– “Je sais pas ce que vous lui faites, mais il a l’air d’aimer vu son sourire.”
– “Le fixe pas, tu vas lui faire perdre ses moyens.”
– “J’ai rien à faire d’autre.”

J’ouvre les yeux, troublé par ce regard dans le mien. Ses jambes emprisonnent mes bras, mais vu que je peu bouger au niveau du coude, je me lance : je place mes mains sur ses cuisses. Elle ne dit rien et continue à me fixer. Je remonte mes mains, les plaquant sur ses seins, jouant avec ses tétons. Elle ferme les yeux, se cambre un peu. Alors que je pince un peu plus fort, elle pousse un petit gémissement.

Mon sexe est lâché, et Sophie revient à côté de Céline.

– “Impossible de vous laisser seuls deux minutes, faut que vous vous tripotez ?”
– “Je l’occupe.”
– “Desserre tes cuisses, avance, et assied toi sur sa bouche. Il arrêtera de dire des bêtises.”
– “Il pourra plus rien dire du tout.”
– “Il pourra te brouter le minou, ça te fera du bien de te détendre.”
– “Sophie, t’es gentille, mais je suis pas clitoridienne.”
– “Ou alors, c’est que tu as jamais…”
– “Cyril pour me faire jouir avait toujours…
– “Patrice ici présent est très doué, t’occupe pas de ton ex.”
– “Comment tu sais qu’il est doué ?”

Sophie prend une grande inspiration.

– “Je réponds à deux questions que j’ai refusé tout à l’heure. Je suis vierge, donc, j’ai pas pu vous dire à quel âge j’avais perdu ma virginité. Et pour mes orgasmes multiples, je les ai eu il y quinze jours, juste avant Noël. Pendant que Patrice utilisait uniquement sa langue.”

Le visage de Céline est traversé par la surprise, pendant que je souris bêtement. Mais le projet semble lui plaire, puisque sans rien dire, elle se déplace. Mon champ de vision se réduit petit à petit, limité à son pubis, et en arrière plan, ses seins que je vois encore. Elle prend appui sur le mur derrière moi pour se placer, moitié à genoux sur moi, moitié à quatre pattes.

Au moment où elle pose son sexe sur ma bouche, je l’embrasse, doucement. Les mains de Sophie ont repris leurs gestes lents sur mon sexe. Le sexe d’Alex semble m’aspirer quand elle frotte mon gland entre ses lèvres.

– “Patrice, interdiction de t’arrêter de lécher la chatte de Céline tant qu’elle n’est pas ravagée par un orgasme. Même si toi tu jouis.”

J’obéis, et mes lèvres se posent sur cette chatte offerte. Elle dégouline déjà, ma langue part en exploration doucement, effleurant, goûtant la cyprine qui coule. Céline soupire d’aise quand ma langue écarte les lèvres et se faufilent entre elles pour effleurer son clitoris. Elle gémit doucement quand je joue avec lui, tournant autour, avant de l’aspirer doucement.

Je m’applique, pour faire honneur à Sophie. Pendant ce temps, je sens des mouvements de bassin d’Alexandra, puis enfin, mon sexe entre en elle, dans un mélange de douceur, de chaleur et de glissement. Elle s’empale totalement, mon sexe totalement en elle, comme aspiré par ses lèvres. La main de Sophie me caresse doucement avant de laisser Alexandra maîtresse de son destin.

Totalement concentré sur mon bas ventre, j’entends Céline gémir de frustration du à l’arrêt de ma langue. Je reprends alors mes mouvements, léchant ses lèvres, insistant sur son clitoris qui se gonfle petit à petit.

Alexandra bouge doucement sur moi, son bassin ondulant sur moi. La sensation est divine, je ressens les vagues sur mon sexe planté en elle. Elle change ensuite, et se retire. Je gémis de frustration à mon tour, l’air froid sur ma verge me fait frissonner. Mais elle redescend doucement, sa main posée sur mes cuisses, contrôlant sa descente progressive.

Je n’en peux plus. Je suis en train de faire l’amour avec deux femmes en même temps. Elles gémissent toutes les deux, pas sur le même rythme. Je perds la tête, mais il me manque quelque chose. Sophie.

Alors je tends la main vers elle, à l’aveugle. Elle comprend ce que je veux, et attrape ma main dans la sienne contre le drap. Elle me serre pour me faire comprendre que je peux me laisser aller.

Alexandra accélère sa chevauchée progressivement, les va et vient sont plus rapides, plus puissant. Elle descend aussi de plus en plus profond, je sens mon pubis taper contre ses fesses dans un bruit de fessées très excitant.

Pourtant, les sons sont étouffés. Les cuisses de Céline se pressent contre ma tête, pendant qu’elle gémit en continu sous l’assaut de ma langue sur son clitoris. Je sors alors ce que j’appelle ma botte secrète : ma langue se pose sur son vagin, et entre doucement en elle, de toute sa longueur, pour la lécher de l’intérieur en commençant un lent va et vient à m’en décrocher la mâchoire.

Au même moment, je découvre avec délice le bonheur d’un vagin qui se contracte. Céline est la première à crier, gémir, pendant que sa chatte ruisselle sur moi. Elle s’effondre sur le côté, ses jambes encore posés autour de moi.

Je veux jouer encore de ma langue, mais le plaisir me transperce après un nouveau spasme autour de ma queue, et je me cambre en jouissant tout ce que je peux. Ma main serre celle de Sophie à la briser. Je la sens me caresser la peau.

C’est tout ce qu’il manquait à Alexandra, dont le vagin se contracte une dernière fois, me serrant aussi fort qu’une main agrippée pour éviter une chute, me malaxe de l’intérieur pendant qu’elle pousse un long râle en s’appuyant de tout son poids sur mes jambes.

J’ai du mal à tenir avec le poids des deux filles sur moi, je n’arrive plus à respirer. J’essaie de bouger un peu, et nous finissons tous les trois emmêlés sur le lit, pantelants, ruisselants de transpiration, cherchant à reprendre notre souffle. Je regarde Sophie dans les yeux, tellement heureux du cadeau qu’elle m’a fait.

Elle me regarde aussi, en souriant. Sa respiration est plus rapide que la normale, alors je l’interroge du regard, mais elle me sourit d’un air convenu, pour me dire que tout va bien.

– “Et bien, vous m’avez offert un chouette spectacle pour mon réveillon. Je vous ai pas interrompu, mais l’heure est passée, bonne année.”

On éclate de rire, mais elle poursuit ses remerciements :

– “Céline, merci de m’avoir prouver que sa langue est bonne. J’avais peur que c’était moi qui était trop réceptive.”
– “Il est doué. Et pourtant, la position n’était pas facile. Allongée sur le lit, il doit avoir encore plus de possibilités.”
– “Oui, mais il est à moi. Alexandra, merci d’avoir dépucelé mon petit-ami : moi je ne peux pas, malheureusement.”
– “Tout le plaisir est pour moi.”
– “Non, je pense qu’il a aimé aussi. Patrice. Merci.”

Sa voix se trouble, ses yeux se brouillent de larmes pendant qu’elle vient m’embrasser. Je suis exténué, je ferme les yeux, et je m’endors sans voir la suite de la nuit.

 

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