Ce midi, on déjeune entre collègues. Au retour, ça bouchonne un peu, on se sépare entre les ascenseurs. Pendant que je parle à la petite nouvelle, en stage depuis lundi, j’en profite pour admirer ses courbes en attendant l’ascenseur. J’entends les portes s’ouvrir, on avance doucement.
Pendant qu’elle regarde l’ascenseur devant nous, je la regarde elle : j’en profite pour glisser mes yeux dans son décolleté, elle ne peut pas me voir. Elle tend la main vers moi, mais je comprends trop tard. Je rentre dans une femme devant moi. Elle était penchée en train de ramasser quelque chose par terre. Mon bassin a percuté ses fesses sans retenue. Elle se rattrape de justesse, se redresse pendant que je m’excuse.
Pendant ce temps, l’ascenseur est parti, les gens n’ont pas daigné nous attendre. Je suis rouge de honte. Ma collègue est rouge également, mais je ne comprends pas pourquoi. Quand à la victime de cette collision, c’est la belle rousse que j’ai déjà remarqué à plusieurs reprises. On en rigole tous ensemble devant l’ascenseur en attendant ensemble.
Le hall s’est vidé, nous ne sommes plus que tous les trois, et le gardien à l’entrée qui nous regarde distraitement. Nous prenons enfin l’ascenseur. La jolie rousse me demande si je veux passer devant pour éviter les accidents. Je souris, je la remercie d’avoir aussi bien amorti le choc.
Nous entrons dans l’ascenseur, et je réalise alors que quand on regarde devant soi, on voit parfaitement ce qui se passe à côté ou derrière : le fond de la cabine est un miroir. En le réalisant, je regarde ma collègue dans le miroir, et elle me fait un sourire gêné avant de se tourner de profil, dos à la paroi.
Je me retourne pour faire face à la porte, la rousse se met aussi de profil. Elles se font faces. Deux jolies femmes sous mes yeux, qui ne me regardent pas, et discutent de je ne sais quoi : mon esprit a décroché, et j’admire leurs courbes respectives. Poitrine bien faite, ventre plat, fesses rebondies, jambes longues et fuselées : la rousse est vraiment très sexy.
La stagiaire est plus petite, sa poitrine moins imposante, son ventre moins plat, ses jambes moins longues. Mais elle a un sourire vraiment joli, et son regard clair illumine son visage si jeune.
Finalement, j’ai bien envie de draguer la blonde. Elle me parait plus accessible, alors que la rousse doit avoir une foule de prétendants, je n’ai aucune chance avec elle. Et puis la boîte voit les relations entre collègues d’un mauvaise oeil. Mais la stagiaire, le temps d’arriver à mes fins, elle partira.
Il aura fallu un voyage en ascenseur pour me décider : je vais draguer la stagiaire pour la mettre cette si jeune fille dans mon lit. J’ai toujours fantasmer de dépuceler une jeunette.
Tranches de fantasmes 