La fin de l’abstinence

femme allongée en culotteDepuis plusieurs mois, c’est abstinence à la maison. Un peu contrainte et forcée : entre les blessures, les maladies, les moments où l’un des deux n’a pas envie, cela remontait déjà à plusieurs mois.

Alors une semaine après être rentrés de vacances, nous étions ravis que les enfants dorment tôt pour une fois. Assez tôt dans la soirée, sans attendre, j’ai câlinè ma moitié. Nous nous sommes embrassés tendrement, au milieu du salon. J’avais envie de prendre mon temps, de faire durer les préliminaires à l’infini, pour savourer chaque instant de ces retrouvailles.

Collée à moi, elle me rendait mon baiser. Mes mains glissaient sur ses hanches, suivant son lent mouvement de balancement. Tout en parlant, elle s’est retournée pour coller son bassin contre ses fesses : j’adore ça, elle le sait bien. Mes mains sur son cou l’ont massé doucement, pendant qu’elle faisait le dos rond pour mieux en profiter. Ses fesses plaquées contre moi ne perdait pas une miette de mon état.

Ses gémissements m’excitant de plus en plus, j’ai arrêté mon massage, et j’ai plaqué une main sur sa fesse. Ma main sur le cou n’a pas eu besoin de beaucoup appuyer pour qu’elle se penche sur la table, m’offrant son cul, attendant déjà la fessée. J’aime la donner, elle aime la recevoir. Pourquoi me priver ? Il nous a fallut quelques instants pour trouver une position confortable pour elle et pratique pour moi.

Ma main a claqué plusieurs fois sur ses fesses, et ses gémissements m’ont prouvé une fois de plus qu’elle aimait bien ça. Cela ne me convenait pourtant pas, alors je l’ai redressé, et elle a râlé, déçue que j’arrête déjà. Je l’ai rassuré en l’entrainant dans la chambre. Elle allume une petite lumière pour mettre l’ambiance. Je l’ai à moitié déshabillé, lui laissant son haut, et sa culotte. Elle n’a pas hésité, et s’est allongée sur le lit, en diagonale. J’ai pris mon temps pour me dévêtir à mon tour, avant de m’agenouiller à côté d’elle, et reprendre la fessée.

Elle se tortille, nous cherchons la position. Mais allongée à plat ventre, ses fesses ne sont pas accessibles. Alors elle se redresse, à quatre pattes, m’offrant ses fesses complètement. Je change de côté pour utiliser ma main droite que j’assène sur ses fesses. J’alterne les fesses, j’interromps parfois le rythme par une caresse.

Petit à petit, sa culotte noire bouge, glissant entre ses deux fesses, se transformant en string séparant ses deux masses blanches en deux. Je reprends la fessée directement sur la peau, le bruit claque dans la pénombre. J’arrête un moment, glissant ma main gauche sous ses habits, caressant son dos. Elle frissonne et se cambre encore plus.

Je laisse ma main droite caresser ses fesses, puis son entrejambe à travers le tissu. La chaleur et l’humidité me semble à point. Mais je fais durer encore le plaisir. Je reprends les fessées. Pas longtemps : cela dure trop, elle s’affale de tout son long par manque de force dans les bras.

Je m’allonge sur elle, lui disant des mots doux au creux de l’oreille. Mon sexe tendu dans mon boxer calé entre ses fesses. J’en profite pour embrasser son cou, lécher son oreille. Puis je me redresse, me déshabille, pendant qu’elle enlève son haut. Je dégrafe son soutif, et entreprends de lécher son dos de bas en haut.

Calé contre son dos, peau contre peau, mon sexe totalement dur entre ses fesses. Je caresse ses seins quelques instants, mais elle m’affirme que ses fesses sont nettement plus stimulantes. Assis sur ses jambes, ma mains pétrissent ses fesses. Ses gémissements reprennent.

J’attrape une capote, et je lui demande de se relever. Elle se replace sur ses genoux, la tête appuyée sur le matelas, s’offrant à moi. Une fois prêt, je glisse mon sexe dans sa culotte, le frottant entre ses fesses. Je l’écarte un peu sur le côté pour avoir de la place, et je commence à glisser doucement, posant mon gland contre ses lèvres, sentant l’humidité de son excitation. J’ai l’impression que cette nuit va être magique, tellement les préliminaires ont été bons : je commence à ne plus pouvoir me retenir, j’ai juste envie de la prendre en levrette, sans interruption, jusqu’à ce que nous jouissions tous les deux.

Un bruit survient, je dresse l’oreille, et j’hésite à entrer. Je continue de jouer à l’entrée de se chatte qui m’appelle. Le bruit se précise. Je râle, me lève, enfile un boxer et vais gérer notre fils qui appelle dans sa chambre. Je tente de le calmer le plus vite possible.

Je reviens, referme la porte. Je me colle contre elle qui s’était cachée pour éviter toute surprise. Je suis encore excité, toi aussi. Alors je joue un instant avec ses fesses, mon sexe se retrouve à nouveau dur. Elle soupire d’aise pendant que nous nous caressons doucement.

Et mon fils appelle à nouveau. Je râle, elle se lève, se rhabille rapidement pour y aller cette fois. Quand elle revient quelques minutes plus tard, nous ne savons pas s’il va encore nous interrompre. De toute façon, le charme de la soirée est gâché, et ni l’un ni l’autre n’avons encore envie.

Il ne reste que la frustration : j’en avais tellement envie depuis des jours. Des semaines. Et c’était tellement bon. J’en ai perdu le sommeil cette nuit là. Impossible de m’endormir à côté d’elle. Impossible de m’ôter l’image de cette culotte noire séparant ses fesses.

C’était la première fois que je voyais cette culotte, achetée récemment. Elle lui va à ravir. Le souvenir de cette soirée hantera longtemps mes rêves…

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