Le lendemain, la journée avance doucement à la fac. Je m’ennuie consciencieusement. J’attends le soir avec impatience et appréhension. Après ce que Sophie a dit, je suis sûr que la soirée sera prometteuse. Je suis donc totalement frustré quand je finis par me coucher tardivement, trouvant très difficilement le sommeil. Ma cage de chasteté ne m’aide pas du tout à me détendre. Sans parler du plug entre mes fesses.
Le jour suivant, j’essaie de parler à Céline et Alex quand je les croise, mais elles me répondent qu’elles sont occupées et qu’elles me verront plus tard. Je suis d’une humeur massacrante quand je rentre dans ma chambre, et j’essaie de me concentrer assez pour travailler, mais sans succès.
Tout à coup, la porte s’ouvre en grand, et Sophie entre. Elle ferme la porte, je lui souris.
– « Déshabille-toi. »
– “Quoi ?”
– “Vibro à 1. Si tu me fais répéter, je monte.”
Je sens les vibrations dans mon anus. Je ne panique pas, mais je ne vois pas où elle veut en venir. Alors j’obéis, comme un automate. Une fois nu, je me tiens devant elle, les mains devant mon sexe. Je rougis en me sentant bander contre la cage juste avec cette situation.
– “A quatre pattes sur le lit, la tête dans l’oreiller, tu ne regardes pas, tu ne bouges pas.”
Je devine plus que je ne l’entends utiliser son téléphone. Quelques instants plus tard, j’entends la porte s’ouvrir et j’imagine des gens rentrer dans ma chambre en silence. J’ai honte de la vue qu’ils ont sur moi. J’espère juste que Sophie n’a pas appelé des inconnues.
J’entends finalement la voix de Chloé :
– “C’est mieux en vrai que sur la photo.”
– “J’ai oublié de vous parler d’un truc sur la ceinture, filer vos téléphones, il faut que j’installe une application et que je vous donne les droits. En attendant, Patrice vous racontera pourquoi il a désobéi.”
Après quelques instants de réflexion, je ne vois pas de quoi elle parle.
– “Mais j’ai rien fait.”
– “Justement.”
– “Je comprends pas.”
Les vibrations se font plus fortes.
– “Pour le punir, j’ai déclenché le vibro du plug avec mon tél. On voit toutes la puissance sur nos téléphones, on peut toutes la modifier.”
– “Alors, t’as trouvé ton erreur, soumis ?”
– “Non, maîtresse ?”
Ça vibre de plus en plus fort.
– “Toujours pas ?”
Encore plus fort
– “Ses fesses se contractent. miam”
– “Douleur ou plaisir ?”
– “Il bande comme un âne dans la cage !”
– “Esclave, tu vas être puni. Je vais monter à 7/10. Tu devrais encaisser. Je rentre chez moi, je le coupe en arrivant. Les filles restent là et font ce qu’elles veulent. Si tu jouis avant la fin, elles te puniront. Comme ça, demain, tu n’oublieras pas d’envoyer le mail….”
– “Mais hier soir, c’était avant la ceinture, ca compte pas”
– “Et ce qu’on a fait après, tu crois qu’elles ne veulent pas savoir ?”
Quand elle augmente les vibrations d’un seul coup, j’étouffe un hoquet en mordant mon oreiller. Je retiens un gémissement.
Elle claque la porte en sortant. Alex prend un manga sur mon bureau, et pour passer le temps, elle commence à lire à voix haute les répliques érotiques.
Chloé et Céline s’assoient sur mon lit, tout contre moi. Je sens leur chaleur contre mon corps. C’est léger, mais cela ajoute aux sensations qui m’excitent.
Je sais que Sophie en a pour 15 minutes au moins. je ne tiendrais pas.
Finalement, quand je crois que je vais craquer, les vibrations s’arrêtent. je pousse un soupir de soulagement. Alex arrête de lire, et les filles me pincent les fesses pour me dire que je suis pas gentil de les priver.
Avant de partir, Céline me chuchote dans l’oreille qu’elle va s’occuper de moi demain, vu qu’il faut me remettre dans le droit chemin.