Les filles rigolent, puis se mettent à papoter et m’oublient, alors que je suis attaché entre elles, complètement nu. Je finis par frissonner de froid, et je râle.
Sophie m’interromps:
– “Un esclave ne doit pas parler si je lui dis pas”
– “Mais”
– “Chut”, fait-elle en me mettant un doigt sur la bouche.
J’entends un bruit, puis Sophie chuchote :
– “J’ai mouillé toute la soirée, apprécie le geste”
Elle me fourre un bout de tissu dans la bouche. Je reconnais son goût et son odeur. Je souris en imaginant la culotte qu’elle sacrifie. Je fais oui de la tête. Et mon sexe bande à nouveau, de façon bien visible.
– “Pour ton comportement, je vais te punir. Tu vas devenir notre jouet sexuel jusqu’à la fin du semestre en juin. Chaque fois que l’une de nous quatre te le demandera par SMS, tu iras la rejoindre, et lui feras ce qu’elle te dit. Je ne parle que de sexe: il ne fera pas vos devoirs ni la vaisselle.”
– “Pourtant, un homme tout nu qui balaie, moi…”
– “Ah mais une mise en situation oui. Mais il reste un esclave sexuel, rien de plus. Pour être sûre qu’aucune n’abuse, chaque matin, au réveil, tu devras m’envoyer un mail avec tout ce qui s’est passé sexuellement la veille. Avec les détails. Je me débrouillerai pour vérifier. Chaque oubli ou erreur sera sanctionné.”
Je soupire, et frémis. Ma copine est en train de m’offrir 6 mois de plaisir avec ses amies, qui ont l’air d’accepter.
J’hésite quelques instants, mais je fais oui de la tête.
– “Bon, debout, j’ai besoin de montrer des choses aux filles.”
Elle me détache, je me lève, mais j’ai du mal à rester debout.
– “Je vais mettre une ceinture de chasteté à notre homme. Pour être sûr qu’il ne se branle pas devant sa collection de porno. Ou qu’il n’aille voir ailleurs.”
– “A nous 4, on va lui suffir quand-même”.
– “Les soumis, parfois, ont besoin d’encore plus de domination. Alors je me méfie. S’il trouve quelqu’un qui accepte de la fouetter, ou autre, il pourrait y aller et ne plus nous accorder tout ce qu’on veut.”
– “Comment on fait si plusieurs le veulent le même jour? “
– “J’espère bien qu’il aura plusieurs filles le même jour. Et en même temps si elles veulent. Ce sera moins facile de raconter, il sera puni plus fort. Idem s’il ne les satisfait pas toutes.”
Je déglutis… La tâche me semble maintenant plus difficile que prévue.
Elles sont toutes d’accord et chuchotent des bêtises en gloussant. J’entends des pas partir, puis revenir. Sophie se colle contre moi, place quelque chose autour de ma taille, entre mes cuisses, je sais ce qu’elle fait, mais je n’en reviens pas.
– “Penche toi en avant, que je vérifie qu’elle ne bouge pas.”
Je ne comprends pas! mon sexe est enfilé dans un trou, et dépasse de la ceinture… Cela ne m’empêche pas du tout de l’utiliser. Les filles comprennent toutes en même temps vu leurs réactions. Elle met son doigt sur mon anus. Je sens un peu de lubrifiant. Je gémis de surprise. Son doigt entre pourtant facilement.
– “Intéressant. Tu as déjà mis un doigt pour te masser la prostate ?”
J’acquiesce sans un son.
– “Alors ça va rentrer tout seul.“
Elle joint le geste à la parole, et je sens un objet entrer en moi, m’ouvrir le cul, et rester en place.
– “Voilà, c’est fait. Ton cul est à moi. Je suis la seule à avoir la clef. Si l’une d’elle veut jouer avec ton cul, elle me le demande, mais il faudra être convaincante. Et tu me ramènes le plug nettoyé dès qu’elle a fini avec toi, que je puisse le remettre en place moi même.”
– “Les filles, pour la ceinture, devant, regardez.”
Elle me tourne, me manipule, leur montre des choses que je ne vois pas. Et une cage métallique finit par être refermée sur mon sexe.
– “Ici, ses bourses sont coincées. Il aura beaucoup de mal à jouir. Alors il faudra redoubler d’effort. Sur ce, je suis vannée. Cette nuit il reste avec moi, je vous laisse rentrer sans escorte.”
Les filles partent se rhabiller. Je les entends rigoler. Sophie reste avec moi. je sens parfois qu’elle s’approche, la chaleur de sa peau proche de la mienne, mais elle ne me touche pas.
Une fois les filles parties, elle revient vers moi, et me félicite pour la soirée.