Sex-friend, et plus si affinités – 25 : Nuit entre amis

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Sophie me tourne le dos, et continue :

– “Déboutonne ma robe dans le dos, s’il te plait”

Je m’exécute, les mains tremblants en enlevant les boutons les uns après les autres. Quand j’enlève le dernier, elle remue ses hanches, et le tissu glisse directement au sol, dévoilant une guêpière affriolante, avec des portes-jarretelles, bas assorti. Elle a attaché celles de la jambe cassée sur son plâtre. Je reste bouche bée sur sa tenue. Je ne remarque même pas le shorty en dentelle qui moule ses fesses.

– “J’espère que ça te plait.”

Mon sexe enfermé dans sa cage est à deux doigts d’exploser. Elle se penche en avant, bombant ses fesses pour mieux les mettre en valeur. Puis elle se retourne, les mains sur les hanches. Baisse les yeux sur sa poitrine enserrée. La guêpière a un léger effet corset, créant un effet majestueux sur ses seins. On dirait qu’ils sont énormes, avec un décolleté à tomber.

Elle plaque ses mains sur les côtés, les resserrant encore plus. Une fois rapprochée, elle continue :

– “J’aime pas ma poitrine dans cette tenue. Je préfère mes seins comme ça, t’en penses quoi ?”

Elle prend une pose de plus en plus suggestives, mettant mon mental à rude épreuve. La cage me fait mal. Je déglutis.

– “Tu es magnifique. Je te trouve. Ouah. J’ai pas de mots.”
– “T’as qu’à dire sexy.”
– “C’est une torture de m’exciter comme ça. Tu sais bien que je suis en cage. Et qu’on ne peut rien faire.”

Elle s’assied sur mon lit, et m’invite du geste à venir à côté d’elle. J’entends un clac, et mon sexe libéré gonfle sur le champ, repoussant de lui-même la cage qu’elle a ouverte. Elle pose sa tête sur mon épaule, et du bout du doigt, enlève la cage.

Ses doigts effleurent mon gland, caressent la peau de mon sexe qui est droit comme un piquet. Elle soupire, pose ses doigts autour de mon membre. Elle fait glisser doucement sa main, lentement. Elle serre de plus en plus. Elle accélère. Je gémis, résistant pour ne pas jouir trop vite. Elle me lance un coup d’œil, me vois me mordre la lèvre.

– “Retiens toi, j’ai une surprise.”

Je la regarde. Elle s’accroupit devant moi, comme elle peut avec son plâtre. Elle me regarde, les yeux dans les yeux. Elle se penche doucement, et sans me quitter des yeux, s’approchent de mon sexe. Quand je comprends ce qu’elle va faire, je déglutis. Je suis à deux doigts de jouir par anticipation.

Elle ne fait pas durer, et ses lèvres se posent sur mon sexe, qu’elle gobe doucement. Je sens sa langue tourner autour, je la sens me prendre en bouche de plus en plus loin. Je ne me suis jamais senti aussi dur. Je résiste tant que je peux, mais elle me suce divinement bien.

– “Mmmhhhh. Je viens”

Je la regarde, me demandant si elle est satisfaite. Elle plonge ses yeux dans les miens, son regard est si intense que j’ai l’impression qu’elle lit en moi. Sa main empoigne mes bourses, qu’elle caresse doucement. Elle m’aspire dans sa bouche, et l’effet de succion est dévastateur. Je me laisse aller à son invitation muette, jouissant dans sa bouche.

Je sens sa langue passer le long de mon sexe, autour de mon gland, à la recherche de la moindre goutte. Quand enfin elle libère mon sexe, il est déjà redevenu flasque, et il est propre.

J’ai du mal à me concentrer sur quoi que ce soit. Elle me fait m’allonger sur le dos, j’obéis, et elle me remet en cage. Elle me fait tourner sur le côté, face au mur, et s’allonge derrière moi. Je la sens contre moi, mais je suis vidé et l’excitation ne suffit pas à me faire bander.

Une fois calée comme elle le veut, elle murmure :

– “Bonne nuit Patrice. Je suis fière de toi. Tu as tenue presque 4 minutes cette fois, ça change de d’habitude. On va continuer le traitement.”

Sans rien ajouter de plus, elle semble s’endormir, et je ne tarde pas à la rejoindre dans les bras de Morphée.