Sex-friend, et plus si affinités – 23 : Courbatures

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Homme embrassant la cuisse d'une femme

Je me réveille, l’esprit embrumé. Je mets un moment à réaliser que je ne suis pas seul dans mon lit. Et encore plus à réaliser qu’il s’agit d’Alexandra et pas de Sophie. Je réalise alors que j’ai mal au bas ventre : comme après chaque réveil, mon sexe est gonflé. Mais pour la première fois, il ne peut pas prendre ses aises, remplissant la cage offerte le matin même.

C’est à la fois excitant et frustrant de bander sans pouvoir bander. L’odeur des cheveux d’Alexandra, son corps chaud contre le mien, la cage qui me serre : mon excitation est à son comble.

Machinalement, j’attrape mon téléphone en bougeant le moins possible pour regarder l’heure. Onze heures : je comprends pourquoi j’ai faim. Je lis le message de Sophie : “Interdiction de bander : tu dois te reposer. Chaque fois que seras serré dans ta cage, tu seras puni, avec obligation de faire jouir Alex avec ta langue. Interdiction de jouir, ou d’utiliser tes doigts.”

Je déglutis. Le message est clair, et si je le prends à la lettre, il faudrait que je m’occupe d’elle sur le champ. Mais j’hésite, je ne sais pas comment elle pourrait réagir. Le temps de la réflexion me permet de finir de me réveiller. Je remarque alors son téléphone dont la lumière clignote pour indiquer une notification.

Par curiosité, j’allume l’écran, et je lis la notification : le début d’un message de Sophie : “Tu sais ce que tu me dois. Il est malade, laisse le …”. Je regrette de ne pas lire la fin, mais cela suffit à supprimer mes dernières réticences.

Je me faufile sous la couette, et j’approche mon visage de son bas-ventre. Je commence par embrasser la peau visible de son ventre, avant d’écarter doucement le haut. Puis mes mains se glissent doucement, et je descend son pantalon. Elle bouge vaguement, m’aidant sans le vouloir à la déshabiller.

Son pubis entièrement épilé m’excite, mon sexe me fait de plus en plus mal dans sa cage dorée. Alors je me venge, léchant ses lèvres lentement. Mes mains écartent ses cuisses, puis je me délecte de son sexe qui commence à mouiller. Elle gémit dans son sommeil, se cambre, et pose une main sur ma tête.

Je continue mon œuvre, tournant lentement ma langue autour de son clitoris. J’entends sa voix, mais la couette étouffe les bruits. Ma langue continue son exploration, la faisant remuer de plus en plus. Elle éjecte la couette au bout du lit, et je me rends compte que ses gémissements sont très forts.

– “Putain, c’est trop bon. Baise moi.”

Je n’en fais rien, je continue mon cunnilingus, sentant son sexe frétiller, son jus ruisseler, ses cuisses trembler. Je ne m’arrête qu’après qu’elle ait jouit en se cambrant, collant ma bouche une dernière fois à ses lèvres.

Je m’allonge à côté d’elle, et je remets la couette pour ne pas avoir froid. Elle m’embrasse tendrement, léchant son propre jus sur ma bouche.

– “J’ai connu des filles moins douées que toi, alors que tu es un mec. Mais j’aurais bien voulu ta queue pour cette fois.”
– “J’ai des courbatures, pas le courage. Mais je voulais te remercier d’être aux petits soins pour moi.”
– “Sur ordre de Sophie. J’ai lu le SMS en me réveillant.”

Je souris, puis me tourne sur le côté, dos à elle. Cela me permettra de résister à la tentation. Même si je ne bande plus, sans avoir jouis, je profite d’un repos bien mérité. Je la sens derrière moi, me tenant chaud au dos.

Je me réveille sans avoir eu conscience de m’endormir. J’entends des bruits derrière moi, je me retourne, pour la découvrir en train de fermer son soutien gorge. Elle enfile une culotte shorty, puis son pantalon, un pull. Avant de se retourner vers moi.

– “T’en profites dis donc.”
– “Vaguement, je dors encore à moitié.”
– “Je sais, j’ai pu aller dans ma chambre chercher mes fringues sans te réveiller.”
– “Moi je prévois pas de m’habiller.”
– “Oui, mais j’ai faim, alors on va manger. Enfile un truc chaud.”

Je baille, m’étire, et enfile la robe de chambre qui traîne depuis des mois dans ma chambre sans utilité. Elle m’entraine dans la cuisine, où elle prépare du riz, et réchauffe de la soupe. Nous mangeons doucement, sans parler. Il n’y a personne dans la cuisine ou le couloir. Je me demande si je devrais la lécher sur la table pour respecter l’ordre de Sophie. Heureusement, je ne bandes pas.

De retour dans ma chambre, je me recouche dans le lit pour dormir. Elle s’allonge à côté de moi, un livre à la main. Je ne tarde pas à m’endormir. Je me réveille bien plus tard. Je tends le bras vers sa place, mais elle est vide. Je me retourne, et la vois installée à mon bureau, elle se mord les lèvres en regardant mon ordinateur. Je me lève sans un bruit, et je me rends compte qu’elle mate un des pornos lesbiens que je possède.

Je m’approche à pas de loups, l’attrape pas les épaules en lui demandant ce qu’elle fait.

– “J’admire ta collection. Il est pas mal celui là, même si je préfère les filles plus rondes.”
– “Mais tu en as pas eu assez ce matin ?”
– “Je regarde pour me documenter, c’est rien.”

Le problème, c’est que ça me fait bander de savoir qu’elle a fait ça. Alors je la force à se lever, je la fais reculer jusqu’au lit, sur lequel je la laisse tomber. J’attrape son pantalon, et le baisse pendant qu’elle se débat. Allongée en travers du lit, les fesses juste au bord, elle essaie de négocier.

– “Mais arrête, laisse moi faire, tu dois te reposer.”

Je tire son shorty en dentelle, avant d’écarter ses cuisses.

– “Pour le moment, j’ai un peu faim. J’ai envie d’un abricot bien juteux”
– “Encore ?”

Même si son ton laisse penser qu’elle voulait autre chose, elle écarte doucement ses cuisses, me laissant approcher. Ma bouche se pose sur son sexe, découvrant un état d’excitation avancé. La vidéo lui a vraiment plu. Mes mains écartent ses cuisses en grand, et à genoux devant elle, je donne tout ce que je peux. La position n’est pas idéale, mais je fais avec.

Ma langue se faufile partout, devinant avec délectation où elle doit se poser pour faire monter son plaisir. Je veux la faire jouir, mais je prends quand même mon temps, pour qu’elle se souvienne de ce cunni pendant longtemps. Elle respire de plus en plus vite, et gémit sans retenue. Quand on toque à la porte, un cri s’étouffe dans sa gorge :

– “Ouiii”

Je tourne la tête et voit Sophie qui entre, sourit, et referme la porte. Elle me fait signe de continuer. Elle se racle la gorge.

– “Sophie, Ah… Putain, c’est trop bon.”
– “Patrice, finis la. Vite, je suis pressée.”

Je redouble d’ardeur, excité par le regard que je sens posé sur moi. Les mains d’Alexandra m’agrippe la tête et les épaules. Elle jouit bruyamment pendant qu’elle plante ses ongles dans ma peau, me laissant deux belles séries de traces sur les épaules.

Je m’assieds sur mon lit, le dos un peu en compote après avoir tenu si longtemps une position inconfortable. Sophie s’approche de moi, et m’embrasse tendrement pendant qu’Alexandra reprend son souffle.

– “Alex, tu peux rentrer chez toi : je prends la relève.”
– “Attends, je reprends mon souffle, il m’a rendu toute chose.”
– “J’ai vu. Tu as apprécié ?”
– “Oui. Mais c’est de ma faute s’il m’a sauté dessus.”
– “Non, Alex, j’en avais envie aussi.”
– “Sophie, regarde son PC”

J’essaie de m’interposer, mais Sophie a une poigne de fer. Elle regarde mon écran où le film a continué pendant tout ce temps.

– “J’ai fouillé un peu et il range bien ses vidéos, super bien classées.”
– “Non, mais c’est privé, arrêtez.”
– “Patrice, reste assis sur ton lit, où je me fâche.”

Toutes les deux sont debout devant mon bureau, je suis assis et ne vois que leurs fesses respectives devant mes yeux. La nudité d’Alexandra m’excite encore, mais savoir Sophie présente me retient.

Au bout d’un moment, Sophie réagit :

– “Alex, il a raison. C’est privé. Sort.”

Alex ramasse son pantalon et s’enfuit les fesses à l’air, sans prendre la peine de s’habiller pour traverser le couloir. Sophie ferme ma porte à clef, et me dit de me coucher pendant qu’elle finit de regarder ma collection. J’obéis, tétanisé par la peur de ses réactions.

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