Je fais un rêve bizarre. Puis je me réveille dans le noir. J’ai une sensation de chaud et et de froid en même temps, je frissonne. Je me souviens de l’ascenseur en panne.
Je réalise que la rousse est réveillée, et qu’elle ne dort plus. Et qu’elle a ouvert mon pantalon pour profiter de moi. Je sens sa main sur la base de mon sexe, et sa langue qui mouille mon gland à travers mon boxer. Je gémis d’envie.
Elle lève la tête et interrompt la caresse :
– “J’étais sûre que tu étais réveillé.”
– “Je viens. Agréablement.”
– “Tu veux que je continue ?”
– “Je te préviens tout de suite, j’ai des gouts particuliers.”
– “Je suis difficile pour le choix de mes partenaires, mais très ouvertes concernant la pratique. Et puis tu t’es occupé de moi cette nuit, je te dois une faveur.”
– “Tu ne me dois rien, mais tu peux continuer.”
A tâtons, elle essaie de bouger mon boxer pour libérer mon sexe. Dans mon état, je le laisse galérer quelques instants, avant de poser mes mains sur les siennes, de l’écarter de moi. Je me lève, et elle comprend immédiatement. Elle se met à genoux, et pose ses mains sur mes cuisses pendant que j’ouvre ma ceinture. Le bruit résonne quand elle tombe par terre.
Ses mains remontent immédiatement, baisse mon pantalon d’un seul coup. Puis reviennent sur mon boxer, passant sur mon sexe qui frémit, et le libère tout à coup. Elle m’empoigne à deux mains, fait quelques va et viens doucement. Je souris qu’elle soit si douce, mais ce n’est pas mon genre.
Au moment où je pose ma main sur sa tête, elle pose sa bouche sur mon gland, le recouvre de sa salive avec sa langue, et le prend dans sa bouche. Pendant qu’elle suce mon gland, ses mains suivent le mouvement dans le même rythme. Elle se débrouille bien.
Malheureusement pour elle, ce n’est pas comme ça que j’aime les pipes. Je pose mes mains sur sa tête, et je m’enfonce dans sa bouche. Elle gémit de surprise. Je ne force pas pour commencer, mais je la sens moins sûre d’elle. J’ai beau avoir un sexe assez long, j’adore les gorges profondes, et elle va en baver. Je ressors pour ne laisser que le gland. Sa langue joue, me prouvant qu’elle n’a rien contre. Alors je m’enfonce dans sa bouche, mon gland butant au fond.
Nous sursautons tous les deux quand la lumière se rallume, et que l’ascenseur bouge. A toute vitesse, je me rhabille, cachant mon érection dans mon pantalon. Quand les portes s’ouvrent sur les secours, je la regarde. Son regard est clair : elle veut remettre ça. Moi aussi.
Hihihi c’est une bonne manière de se réveiller 😉 Heureusement que ce n’est que partie remise ^^
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Mais non!!!!
On n’a même pas entendu mes techniciens intervenir!!!!
Moi aussi je veux qu’ils reprennent!!!!
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