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Après un long silence, la partie reprend, et Céline est obligée d’avouer les positions qu’on a testé cet après-midi. Elle accepte de répondre, et avoue qu’on a regardé un film, qu’elle m’a fait un câlin sur l’épaule avant de s’endormir. Et que je n’ai même pas profité d’elle.
– “Attends, on arrange ça: assieds toi sur lui.”
– “C’est pas mon tour.”
– “C’est ton gage.”
– “Un gage ? J’ai choisi vérité et j’ai tout dit.”
– “Tu as pas donné de positions.”
– “Non, mais Céline a raison, on a juste dormi.”
– “Elle a un gage. Un point c’est tout. Ne pas répondre à la question mérite un gage”
Les filles se disputent gentiment. J’entends Céline crier de surprise au moment où elle se retrouve assise sur moi, me tombant lourdement dessus, ses fesses posées contre mon ventre, mon sexe tendu touchant sa peau.
Ce simple effleurement m’excite tellement que j’ai peur de jouir sur sa peau sans crier gare. Ma respiration s’accélère. J’entends celle de Céline juste devant moi. Alexandra se racle la gorge pour briser le silence qui s’installe, et Sophie sort de sa torpeur :
– “Au point où on en est, on devrait aller dans ma chambre, le lit évitera les chutes.”
Alexandra accepte sans hésiter, et propose d’aider Sophie à y aller à cloche pied. Je suis le mouvement, et je me lève de ma chaise. En oubliant un détail pas si petit que ça : Céline. Elle ne s’y attendait pas, et tombe en glissant de mes jambes où elle était assise. Elle pousse un petit cri. Je tends les deux mains et la rattrape comme je peux. Le bandeau sur les yeux ne m’aide pas à viser, et je me rend compte après coup que je serre un peu fort. Son gémissement me fait me redresser en la relâchant. Je ne sais pas pourquoi elle recule, mais elle pousse un nouveau petit cri quand ses fesses percutent mon sexe tendu devant moi.
– “Ça y est, Patrice se lance et veut profiter de la faiblesse de Céline.”
– “C’est pas drôle Alexandra.”
– “Je voudrais t’y voir. Pas facile de rattraper une fille nue les yeux bandés”
– “Je confirme que tu es bien bandé là.”
– “Je peux me débander les yeux jusqu’à la chambre pour plus que ça arrive ?”
– “Toi, interdit de débander. J’ai les mains pleines. Céline, guide le.”
Une main se pose sur mon sexe. Elle me tire vers l’avant. Je suis le mouvement, mais ne marchant pas en cadence, cela suffit à provoquer quelques frottements qui ne sont pas désagréables du tout. Je mords mes lèvres pour ne pas gémir. Céline a du s’en rendre compte : elle fait exprès d’avancer par à coup : deux pas rapides, un arrêt, et elle recommence. A chaque fois, sa main glisse sur mon sexe, me masturbant discrètement. Je suis au supplice : une fille me tient par la queue pour m’emmener sur le lit de ma petite-amie.
Arrivés dans la chambre, elle me lâche sans me prévenir. L’air frais après la chaleur de sa main sur mon sexe me fait frissonner. Après quelques chuchotements, des mains se posent partout sur moi. Elles me caressent le dos, le torse, les jambes. Puis me poussent progressivement sur le lit, pour m’allonger sur le dos. Elles me placent en plein milieu du lit. Avoir changer de pièce sans rien voir m’a fait totalement perdre mes repères, j’ai du mal à savoir qui est où.
– “Céline, tu as un gage, tu n’es pas restée assise.”
– “Mais c’est lui qui m’a fait tombée.”
– “D’accord, gage partagé.”
Je ne dis rien, trop curieux de savoir ce que pourrait donner le gage suivant. Céline reste assise à côté de moi, je sens sa cuisse contre ma hanche. Plus loin, je distingue les chuchotements de Sophie et Alexandra qui se mettent d’accord. Sophie revient doucement s’asseoir à côté des mes pieds, en demandant à Alex si elle est sûre. J’imagine que celle-ci opine de chef, puisque Sophie enchaine :
– “Céline, tu tiens ses mains au dessus de la tête, et tu l’embrasses. Avec la langue. La totale. Et attention à bien coller ta poitrine contre sa peau pour qu’il profite de tes tétons.”
– “D’accord, va pour un baiser. En espérant que ça ne va pas l’exciter encore plus.”
Alexandra et Sophie rigole avant de continuer :
– “Pendant ce temps, Patrice, tu dois résister à la bouche. Je mets un chrono à une minute.”
– “Quelle bouche ?”
Je n’obtiens pas de réponse, mais je sens Céline se tourner vers moi, et se pencher. Elle attrape mes mains, et les places au dessus de ma tête. Je la laisse faire. Je sens la chaleur de sa peau juste avant de sentir ses seins s’écraser sur mon torse. Puis sa bouche se pose sur mon cou, et elle remonte doucement jusqu’à ma bouche que je tiens fermée pour résister, comme demandé. Sa langue joue à la commissures de mes lèvres. Elle s’applique, et j’ai très envie de la laisser faire malgré la consigne.
J’ouvre la bouche de surprise quand je comprends enfin le gage : elle en profite pour poser sa bouche sur la mienne. Elle étouffe mon gémissement et sa langue commence à danser avec la mienne dans un baiser langoureux.
Pendant ce temps, des mains se sont posées sur mon ventre, et ont saisies mon sexe. Des baisers sur mon gland, puis une douce humidité lorsque la bouche avale doucement mon sexe. La langue joue autour de mon gland pendant que la bouche m’enserre en un lent va-et-vient.
J’imagine que Sophie a enfin trouvé quelque chose qu’elle peut faire dans son état, et ça a le don de m’exciter. Les sensations sont telles que je perds toute notion de la réalité : la poitrine de Céline se frotte contre moi pendant qu’elle m’embrasse de plus en plus intensément en gémissant elle aussi. En bas, je découvre les joies de la fellation pour la première fois de ma vie, et mon sexe est aspiré de plus en plus loin dans cette bouche qui me dévore.
Je me tords de plaisir. Sophie annonce alors qu’il reste trente secondes à tenir. Je suis au supplice de savoir que c’est Alexandra qui me suce. Elle qui n’avait jamais vu de sexe d’homme avant moi le fait de façon tellement jouissive. J’essaie de penser à autre chose, mais je sais que deux femmes ont leurs bouches posées sur moi devant ma copine, et cela m’excite encore plus.
Involontairement, je donne des coups de bassin pour venir à la rencontre de la bouche d’Alex. Je gémis en jouissant juste au moment où le chrono sonne. Céline me fait quelques bisous sur la bouche en reprenant son souffle. Je sens Alex me libérer de son emprise, en gémissant la bouche pleine.
Je reprends moi aussi mon souffle, n’en revenant pas de ce qui vient de se passer. Sophie se racle la gorge avant de reprendre :
– “Bon, Patrice, gage échoué. Du coup, tu as un nouveau gage.”
– “Pourtant, il m’a super bien embrassée. Et il avait l’air d’aimer ça vu ses gémissements.”
Sophie éclate de rire, pendant qu’Alex fait un drôle de bruit. Céline ne s’était rendue compte de rien, et réalise soudain ce qui se passait derrière elle. C’est elle qui trouve immédiatement le gage et le propose :
– “Puisqu’il a souillé ta bouche, je propose qu’il répare les dégâts.”
– “Comment ça ?”
– “On lui enlève son masque, et il nettoie Alex avec sa langue. Pour qu’elle n’ait plus une seule trace.”
– “Ok, vas-y Patrice.”
Je m’assieds sur le lit, Alexandra me grimpe sur les jambes. Ses cuisses sont chaudes sur les miennes. Son ventre contre le mien, elle plaque ses seins contre mon torse pour me libérer du bandeau. Mes yeux ont du mal à retrouver leur efficacité, mais je vois qu’elle s’approche de moi pour que je l’embrasse, alors je la laisse faire.
Ses lèvres sont douces sous ma langue. Puis je glisse ma langue en elle, et je plaque ma bouche contre la sienne pour ne rien laisser couler. Le goût salé n’est pas désagréable en soi, mais je ne suis pas fan.
Quand je vais plus loin dans sa bouche, elle a un léger mouvement de recul : je place mes mains sur son dos pour la plaquer contre moi et en profiter le plus possible. Les yeux fermés, je continue de l’embrasser longtemps après avoir fini de nettoyer. La situation m’excite, et je sens mon sexe se mettre au garde à vous et se redresser, touchant sa peau.
Satisfait de mon nettoyage, je libère sa bouche et je me recule en enlevant mes mains. Elle reste un instant collée à moi, l’air un peu ailleurs. Elle prend une grande inspiration, puis me pousse sur le lit pour que je sois à nouveau allongée. Dans cette position, mon membre appuie contre elle, cherchant à se retrouver à la verticale : c’est presque douloureux.
Heureusement, cela ne dure pas longtemps : elle descend de moi comme si elle avait finie une simple balade à cheval. Tout en parlant d’une voix rauque :
– “C’est vrai qu’il est doué avec sa langue. Il embrasse bien.”
– “Tu es toute propre ?”
– “Ma bouche est propre oui. Mais monsieur bande encore, et je doute que l’humidité qu’il a posé sur mes cuisses soit ma salive.”
Je souris. Bêtement. Fier de ce qui vient de se passer, d’avoir résister autant à la tension sexuelle, même si j’ai craqué. Et fier aussi d’être déjà prêt comme si de rien n’était. Je réalise alors que j’ai les yeux fermés par habitude : je les ouvre et jes les découvres assises toutes les trois sur le lit autour de moi.
J’en profite pour mater leurs seins. Comme prévu, Sophie a les plus petits, mais déjà bien fournis. Les poitrines d’Alexandra et Céline sont plus grosses, et toutes les deux bien fermes, ne tombent pas du tout malgré la taille. Je suis impressionné.
Je réalise le silence au bout d’un long moment à les comparer. Elles me regardent toutes. Je rougis et m’excuse mais Sophie m’interrompt :
– “Ah les mecs, une paire de seins ou une pipe suffit à les exciter.”
– “Alex suce super bien, c’était vraiment dur de résister.”
– “Je confirme que tu étais dur.”
– “Et en plus Céline se frottait à moi et m’empêchait de résister.”
– “Alors je change les règles. Sur mon lit, tu n’es plus un joueur. Tu es un objet, et on se servira de toi pour nos futurs gages.”
Mmmmh…….
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