Rêverie matinale

Femme allongée, profitant du moment pendant qu'un homme lèche son sexeCette nuit, j’ai fait un rêve érotique qui commençait bien. Nous étions nus tous les deux, en train de nous caresser. Tu m’as dit que tu étais prête. J’ai souris, je t’ai dit de t’allonger sur le lit. La lumière tamisée mettait tes courbes en valeur. J’ai tourné autour du lit, ma main effleurant par instant ta peau.

Arrivé devant mon étagère, j’ai pris la Boîte. Je ne l’ai pas sorti depuis longtemps. Tes yeux brillent quand je pose la boîte sur le lit. Tu pousses un long soupir. Tu me souris. tu fermes les yeux un instant, le temps de prendre une grande inspiration. J’ouvre la boîte, et je jettes un coup d’œil à l’intérieur. Je n’en ai pas besoin, mais je veux te faire languir un peu. Je sais exactement ce que je trouverais dans la boîte : je la range régulièrement pour que les accessoires dont j’ai envie soit au dessus, accessibles directement.

Je sors un bandeau, je monte sur le lit. Tu me vois approcher, tu soulèves ta tête pour me laisser de la place, et tes yeux sont bandés en un instant. Tu reposes ta tête. Tes dents mordillent ta lèvre inférieure. Je profite du spectacle, puis je sors une première corde de la boîte. Cela fait longtemps que je ne t’ai pas attaché. J’espère que je n’ai pas tout oublié ce que je sais sur le bondage. Je ne veux pas te faire mal, je veux juste t’immobiliser.

J’attrape ta cheville gauche, je caresse ta peau. Ma main chaude parcourt ta cuisse. Tu frissonnes. Je te fais plier le genou, et je commence à passer la corde autour de ta ta jambe ainsi repliée. Je repasse la corde entre les spirales qui t’entourent, et la laisse reposer sur le lit. La seconde corde s’enroule autour de l’autre jambe, te laissant les chevilles attachées à tes cuisses, les jambes bien écartées. Je te taquine en soufflant vers ton ventre, je vois tes muscles se crisper en réaction.

Je t’attrape et t’aide à t’asseoir, presque en tailleur. Je prends une corde, la passe dans ton dos, fait le tour deux fois, immobilisant tes bras le long de ton torse. La corde poursuit son chemin, passe sur ta nuque, serrant doucement les cordes autour de ta poitrine. Elle semble encore plus grosse que d’habitude, tes seins enserrés dans le shinju que j’ai pratiqué sur tes seins.

J’entends ta respiration accélérer. Je vois tes lèvres entrouvertes. Je n’ai pas besoin de voir tes yeux, je sais qu’il cherche dans le noir du bandeau ce que je vais faire ensuite. Tu ne peux que deviner : je n’ai jamais fait ce que je t’ai fait ce soir. Et la suite ne t’est pas connue d’avance, moi même je ne sais pas encore tous les détails.

Je pose ma bouche sur la tienne, je te vole un baiser. Ma langue se faufile entre tes lèvres, effleure la tienne. Tu gémis. J’arrête, puis je pousse sur ton front, et te voilà allongée, dans une position parfaitement indécente. J’attrape la corde de ta cuisse droite, ton poignet, et j’attache ta main sous ta jambe. Je recommence de l’autre côté. Je m’allonge sur toi, mon sexe dur plaqué contre ton ventre pour t’embrasser goulument. Quand tu commences à répondre à mon baiser, que ton bassin monte à ma rencontre, je m’arrête, et avec les cordes, je t’attache au lit.

Tu es nue, les cuisses écartées, les bras attachées sous les jambes, complètement à ma merci. Je me rince l’œil. Je te complimente, indiquant clairement ce que j’aime. Voir tes tétons s’ériger doucement. Tes lèvres s’ouvrir pour montrer ta langue que tu passes sur elle. Tes lèvres qui s’entrouvrent, me permettant de voir que tu es déjà luisante de désir. Je me recule, pour admirer mon œuvre. Je sors de la chambre, pour prendre mon téléphone, avec lequel je te prends en photo, sans te le dire. Vue globale. Puis des détails : les nœuds le long de ta jambe, ta poitrine dans le carcan de corde. Puis je zoome fortement, prenant mon pied en fixant pour l’éternité ton téton. Ton sexe, entrouvert, luisant entre ta toison taillée.

Je range le téléphone à portée de main, puis je passe mes doigts sur ta peau. Je commence sur ton cou, et je descends doucement : ta poitrine que j’effleure sans jamais m’approcher de tes aréoles si foncées. Mes doigts glissent le long de la corde, avant de parcourir ton ventre. Tu frissonnes quand j’arrive sur ton pubis. Mais j’évite ton sexe, et je caresse doucement tes cuisses.

Je me penche doucement, je souffle sur tes lèvres. Tu gémis, et ton bassin semble vouloir décoller du lit. Ma main se plaque sur ton ventre, t’empêchant définitivement de bouger. Je me penche, je m’approche, mes yeux se régalant de ce spectacle si rare. Ma bouche s’arrête au dessus de tes lèvres. Tu as un hoquet de surprise : tu me refuses souvent de te lécher la chatte, mais cette nuit, c’est moi qui décide. Tu me demandes d’arrêter, mais je n’en ai que faire. Pour cette fois, je me passerai de ton consentement.

Ma bouche s’ouvre, et j’embrasse tes lèvres tendrement. Je respire l’odeur de ta cyprine, forte, qui m’excite. Ma langue darde entre mes lèvres, glisse de bas en haut contre ta fente. Arrivé en bas, je gémis. J’ai tellement peu l’occasion de te faire un cunnilingus que je m’applique autant que je peux. Mes mains posées sur ton ventre et ta cuisse te massent doucement, pendant que ma langue sort un peu plus, se faufile entre tes lèvres, les écarte un peu plus à chaque passage. Tu es tellement mouillée que le gout envahit tout mon corps. Je m’en délecte, pendant que tu retiens tes gémissements.

Ma langue se fait large, et je ne me contente plus de la pointe : elle parcourt encore une fois ta chatte, de bas en haut, et s’arrête sur ton clitoris. Je joue doucement autour de lui, le faisant sortir de son capuchon. Pendant que ma langue tourne autour de lui, ma bouche aspire ta chatte, et je viens poser un doigt sur ton vagin, pour te titiller encore un peu plus. Il glisse sans problème en toi, alors j’en ajoute un autre. Mon majeur et mon index glisse dans ton sexe dégoulinant de mouille, pendant que ma bouche s’occupe de ton clitoris. Te n’arrives plus à retenir tes gémissements. Tu gigotes, ton bassin se plaquant encore plus contre ma bouche.

J’entends ton souffle, tes gémissements, je lis en toi comme dans un livre. Tu me demandes de te prendre, mais je continue à jouer de ton corps. J’écarte un peu tes fesses, et je glisse un doigt inquisiteur vers ton anus. Tu sursautes, mais ma bouche plaquée sur ton sexe t’empêche te me fuir. Mon doigt tâtonne, doucement, tourne autour, et je finis par le rentrer doucement en toi. Tu pousses un petit cri, moitié douleur, moitié plaisir. Ma bouche aspire de plus belle. Ma langue s’enroule autour de ton bouton d’amour. Et je plante alors mon majeur entièrement dans ton cul.

Tu gémis. Fort. Cela emplit la pièce. Tu ne t’attendais pas à ça quand je t’ai attaché. Mais maintenant, te redoutes la suite. Tu as peur que mon sexe prenne la place de mon doigt, et te fasse encore plus mal à cause de sa taille. Mes doigts font des va et viens en toi : ton vagin et ton anus sont soumis à rude épreuve. Ma langue sur ton clitoris adoucit le supplice.

Le supplice, c’en est un pour moi aussi. Je n’ai jamais autant bandé. Alors, j’enlève mes doigts, tout en laissant ma bouche sur ton sexe. J’ai besoin de mes mains pour enfiler une capote. Ma bouche quitte ton sexe à regrets, et je couvre ton corps de baisers, remontant sur toi tel un serpent. Mon sexe se plaque entre tes fesses. Je joue à le frotter doucement. Je sens ton anus contre mon gland. Ma bouche se pose sur ton téton, l’aspire, le lèche, le couvrant de ma salive et de ta cyprine. Ma main attrape mon sexe, je le pose contre ta rondelle, comme si j’étais prêt à t’enculer.

Sans bouger mon bassin, je remonte ma tête. Tu gémis. Ma bouche se pose sur la tienne, te faisant gouter à ton propre plaisir. Alors je bouge mon bassin, et sans crier gare, je plaque mon sexe contre ton vagin, et je t’empale d’un grand coup sec, comme tu l’aimes.

Ton cri de soulagement est si fort que je souris intérieurement. Je te pilonne vigoureusement. Je libère ta bouche de la mienne. Tu gémis de plus en plus fort. Je sors de ton sexe, le frotte entre tes fesses. Tu te crispes. Mais tu souris, sûre que je ne le ferais pas ce soir alors que je t’ai attachée. Alors je le frotte entre tes lèvres, appuyant sur ton clitoris. Puis je retourne dans ton vagin, chaque coup provoquant un gémissement de ta part. Ma respiration se fait saccadée.

Je ralentis un peu les mouvements pour faire durer le plaisir. Dans ma tête, j’hésite à te détacher du lit, te retourner, pour prendre ton cul. Mais si je penses à ça en te baisant de la sorte, je vais jouir tout de suite.

Alors, je fais la chose la plus simple pour moi. Je me réveille, dans le noir. Mon sexe durci tapote mon ventre doucement. J’entends ta respiration endormie à côté de moi. Je prends mon téléphone, je regarde l’heure : la nuit est loin d’être finie. Je vais avoir du mal à dormir si je reste comme ça, avec ses images dans la tête. Ma main se pose sur mon sexe, et je me branle en rêvant éveillé. Mon rêve devient mon fantasme. Mon rêve me fait jouir.

Mon fantasme me hante depuis ce jour. Et tu n’en sais rien.

3 réflexions sur “Rêverie matinale

    • Tu imagines pas combien de fois j’ai hésité à l’écrire comme je l’avais rêvé, ou en le changeant pour que ce soit meilleur à lire. Et finalement, j’ai mis 3 semaines entre la première fois où je l’ai rêvé et le moment où j’ai pu prendre ma plume.

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