La semaine dernière, j’avais envie de toi. Tu n’étais pas d’humeur, je n’ai pas trop insisté. J’espérais te convaincre ce week end, mais tes copains anglais ont débarqué, coupant net à toute tentative. Même si je suis curieux de tester l’amour pendant tes règles, nous n’en sommes pas encore là.
Exceptionnellement, mardi midi, je mange à la maison. Quand je suis arrivée, tu étais en train de te changer après t’être tâchée en cuisine. Arrivant dans la chambre, je te vois de dos, les mains sur ton legging que tu remontes, me masquant ta culotte. Cette image me hante pendant le repas, mais je me fait une raison. Il n’y aura rien avant ce week end.
Après manger, je me lève pour aller chercher mon yaourt, mais tu m’interromps. « Laisse, je te ramène ton dessert ». Tu débarrasses la table et files à la cuisine. Je surfes sur mon téléphone pour patienter. J’en profite pour programmer des photos érotiques sur mon tumblr secret.
Quand tu reviens, tu as les mains vides. Je râle, je me lève, et je vais en cuisine. Quand nous nous croisons, tu m’empêches de passer. Tu te colles à moi, me fais un câlin. Je m’interroge, mais peu de temps. Tu me plaques contre la table, tu t’agenouilles, tu ouvres ma ceinture et mon pantalon. Aussitôt autour de mes chevilles, mon boxer suit le même chemin. Ta langue dépasse entre tes lèvres, et tu me lèches de bas en haut, une seule fois. Tu finis par déposer un tendre baiser de tes lèvres sur mon gland. Cela suffit, mon sexe est totalement érigé, prêt à tout.
Tu te redresses, frôlant mon corps avec le tien. Tu me guides d’une main posée sur mon sexe, et je te laisse faire. Tu me tends une capote que j’enfile sur le champ, pendant que tu enlèves ton legging, dos à moi, m’exposant tes fesses si rebondies. Tu sais que je les aime : tu recules immédiatement pour les coller à moi. Tu te frottes, et mon sexe glisse entre tes fesses. Tu te retournes, et tu me fais asseoir sur une chaise. Tu t’approches. Mes yeux rivés sur ta culotte sont fascinés : je ne reconnais pas celle là. Tu me connais bien : tu sais que j’adore faire l’amour quand tu portes des nouveaux dessous.
Tes jambes de chaque coté des miennes, tu descends doucement. Tu attrapes ma queue, tu joues un instant à la faire glisser le long de tes lèvres, contre ton clitoris. Les sensations m’étonnent, je ne comprends pas où est ta culotte. Mais je n’y penses plus quand tu t’empales d’un seul coup sur moi, accompagnant ton geste d’un profond gémissement. Tu es tellement trempée que les préliminaires auraient été superflus.
Mes mains se posent sur tes fesses pour accompagner tes mouvements de haut en bas. J’agrippe ta culotte du bout des doigts. Je malaxe tes fesses pendant que je sens ta chatte ruisseler sur moi. Tu gémis de plus en plus fort. Tu bouges de plus en plus vite. Je sens ton sexe serrer le mien. Je sens ta culotte de part et d’autre de mon sexe, et je comprends enfin que tu portes une culotte fendue.
Savoir que tu portes un vêtement aussi coquin m’excite encore plus. Mes mains se crispent sur tes fesses quand je jouis dans un râle de plaisir. Tu continues de bouger, te baisant sur mon sexe qui bande encore, trouvant ton plaisir toute seule sur moi. Puis, repue, tu t’empales à fond, te calant contre moi pour partager un tendre câlin. Je te taquine à propos de ta nouvelle culotte, si excitante. Tu me réponds que tu la garderas cet après-midi en pensant à moi.
Avec tout ça, j’ai pas mangé mon dessert, moi.
Tranches de fantasmes 