Plaisirs interdits

La position de la levretteIl y a un an environ, lors de préliminaires, ma main n’était pas placée comme d’habitude, et je me suis retrouvé avec un doigt posé à l’entrée de l’anus de ma moitié. Nous en avions parlé, et elle refusait clairement ce genre de pratique : pas question de sodomie. De mon côté, je ne lui avais pas dit, mais j’aurai bien voulu essayer quand même, mais seulement avec son accord.

Ce jour là, j’ai donc tenté le diable, et j’ai laissé mon doigt. Pendant que je m’occupais de son clitoris et de son vagin, mon doigt jouait à la porte, détendant son muscle anal, puis s’insérant doucement, aspiré par son si joli cul.

La suite a été plus conventionnelle. La discussion sur l’oreiller, pendant le câlin post-coïtal, m’a fait comprendre qu’elle n’était plus totalement opposée à l’idée, mais qu’il faudrait qu’elle soit prête pour les étapes suivantes.

Quelques semaines plus tard, après l’avoir fessé à 4 pattes, j’ai profité de la position pour jouer volontairement avec son anus. Lubrifié par son sexe, mon doigt a joué longtemps, doucement, puis je l’ai entré dans cet espace si serré. Voulant mettre du lubrifiant pour la suite, j’ai plongé la main dans la table de nuit, et au bout d’une longue minute à tout bouger dedans, j’ai enfin retrouvé le flacon. Dommage, cette minute avait cassé l’ambiance, l’envie, et fin du jeu.

Au printemps suivant, nouvelle tentative d’approche, je joue un peu avec un doigt, mais la position, l’angle ou un autre détail n’allait pas. Ce n’était pas agréable pour elle, interruption immédiate.

La fois suivante, j’ai décidé d’ajouter un peu de piment dans le jeu: j’ai commencé à jouer avec mon doigt, puis je lui ai inséré un sextoy que nous avions choisi ensemble. En silicone pour ne pas être trop dur, bien lubrifié, avec des perles, « idéal pour débutants ». Après avoir jouer un peu avec, je lui ai fait un peu mal, retour à la case départ.

J’avoue que je trouve ça moins bien qu’avec mes mains. Le geste me parait moins précis (sans doute une question d’habitude), et les perles font que je ne peux pas choisir aussi bien la profondeur. Je peux en mettre 3 ou 4, mais pas 3 et demie.

Cette semaine, elle m’a attirée dans la chambre, lumières tamisées. Je l’ai suivi docilement. Je l’ai déshabillé, puis allongée sur le ventre, en travers du lit, je lui ai massé les fesses. Elle adore que je m’occupe de ses fesses charnues. J’ai poursuivi par une fessée. Puis un massage. Quand je pétrissais ses miches, je plaçais mes pouces autour de son anus pour jouer à l’étirer un peu. Elle ne m’a pas arrêté, j’ai donc poursuivi le jeu. Alternant fessées, pétrissage des fesses, massage de son muscle anal. Petit à petit, je me suis concentré uniquement sur son cul. Ma salive comme seul lubrifiant, j’ai joué à l’entrée, sans forcer, tranquillement. Je me suis allongée contre elle, une main sur sa fesse, nous nous sommes chuchotés des mots doux.

J’ai sorti le lubrifiant et un jouet du tiroir, du premier coup. J’ai repris la séance de fessée, et aidé du lubrifiant, j’ai enfoncé mon index plus avant en elle. Ses muscles se sont serrés sur mon doigt, il est ressorti de lui même, expulsé. A plusieurs reprises, j’ai entré mon doigt, ajoutant du lubrifiant à chaque fois. A chaque fois sorti. Mais elle aimait ça, son corps me laissait faire et ses gémissements m’excitait au plus haut point.

Malgré l’étroitesse, j’ai continué à glisser mon doigt, mais le laissant en elle, résistant à sa sortie naturelle. Puis j’ai commence mes va-et-viens, doucement, la sentant parfois se resserrer sur mon doigt. Mon autre main massait sa fesse, lui décrochant des gémissements de plus en plus forts.

J’ai commencé à varier la profondeur, pour aller plus loin, et au bout de quelques secondes, je lui ai fait mal. Elle m’a demandé d’arrêté, qu’elle voulait une levrette. Dès qu’elle s’est mise à quatre pattes, j’ai frotté mon gland entre ses fesses, le long de sa fente, et je suis entré dans sa chatte dégoulinante. Un main posée sur ses fesses, j’ai commencé mes mouvements. Puis ma main a rejoint sa raie, pour poser mon pouce sur son trou. J’ai joué avec pendant que je la besognait, et il a même aspiré ma première phalange sans que j’y prête attention tellement c’était bon. Quelques instants plus tard, j’ai joui en elle.

La sentant au bord de l’orgasme, j’ai continué mes coups de reins, mon pouce dans son cul, en gémissant aussi fort qu’elle avant qu’elle s’effondre sur le lit.

Dans la discussion après ce rapport qui collait bien à certains de mes fantasmes, elle a râlé sur l’ongle qui lui avait fait mal. Et me demandait quelle jouet j’avais utilisé.

Persuadée que j’avais pris un jouet pour m’en servir, elle n’avait pas reconnu mon doigt. Dont l’ongle était « ébréché », ce que je n’ai vu qu’après coup. Dommage, ça aurait pu être encore plus intéressant cette histoire.

Vivement la suite de cette longue aventure 🙂

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