Moment de détente

Dans la journée de mardi, j’avais plusieurs rendez-vous importants, et j’étais donc stressé dès lundi. J’ai rêvé une partie de la journée à faire l’amour à ma moitié pour me déstresser, soit lundi soir avant mes rendez-vous, soit mardi soir après mes rendez-vous.

En me couchant tard lundi, je savais que je dormirais mal, et je m’étais fait à l’idée. J’ai été étonné en voyant que ma moitié ne dormait pas encore. Quelques instants plus tard, sa main se posait sur mon dos pour me gratter doucement.

J’ai longuement soupiré, elle m’a demandé pourquoi j’étais tendu. Elle m’a ensuite proposé spontanément de me détendre en quelques minutes, rapidement. J’ai consenti.

Sa main se promenait sur mon dos, me grattouillant. Je me suis mis sur le dos pour qu’elle puisse changer de zone, elle en a profité pour glisser sa main sous mon pyjama. Elle a fait des ronds sur mon ventre, a tâté mes pectoraux. Sa main était chaude, et c’était agréable. J’ai soupiré à nouveau, mais d’envie et de plaisir anticipé cette fois.

Elle a soupiré aussi, puis sa main est sortie, pour se poser sur le pyjama, mais sous la ceinture. A travers le tissu, elle a touché, effleuré, joué quelques instants. Elle était très contente de la taille de mon envie, et s’est allongée sur le dos pour que je m’occupe un peu d’elle. Me glissant contre elle, mon bas ventre calé contre sa cuisse, elle ressentait mon désir, chaud contre elle. Ma main s’est faufilée sous son pyjama, droit sur son sein, que j’ai massé doucement, me délectant de son téton déjà durci d’excitation.

Dans un murmure, elle m’a avoué que c’était déjà torride en bas. Qu’elle en voulait plus. Mes doigts se sont égarés rapidement sur son pubis, découvrant une chaleur et une humidité appétissantes pour la suite. Quelques secondes pour enlever les pyjamas, et nos corps se sont collés l’un à l’autre sous la couette.

Prenant les choses en main, je me suis glissé en elle, d’un seul coup de rein, pendant qu’elle me demandait de prendre mon temps. Doucement, je suis complétement sorti, pour rentrer à nouveau. Encore et encore. Je l’ai sentie me serrer de plus en plus, alors j’ai commencé à augmenter le rythme, en restant en elle. Ma peau claquait sur la sienne, mais ce bruit était couvert par ses gémissements.

J’ai joui en elle, sans m’arrêter, pour continuer à lui donner du plaisir. Ses gémissements continuaient, je sentais son sexe emprisonner le mien en spasmes pendant que je m’effondrais, haletant, pouvant à peine bouger, dans un râle de plaisir. J’ai roulé sur le dos, pour reprendre mon souffle. Nous avons discuté quelques minutes, et je me suis endormi l’esprit serein, parfaitement calme et détendu.